Renault Gagne la partie sur la Terre Battue du Terrain Marocain

Renault Tangier Med: Winning the Game in the Road to Morocco

Internationalization of Productivity and Global Innovation: International Division of Robotics, Logistics, Technology and Biotechnology

Strictly speaking, as far as we are concerned in Morocco, there is no Neo in the current globalization. Globalization of any nation or economic entity often results in the emergence and adoption of standardization of production methods, increased productivity, technological innovation in terms of intermediate and final production costs. and logistics-distribution and the supply of the finished product with high added value. ★ … Continue reading Renault Tangier Med: Winning the Game in the Road to Morocco


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🌎 Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. 🌍• You★ Analyst World Affairs ★ Author ★ Elaboration of Predictive Studies ★ Keynote Speaker ★ Entrepreneurial Planning ★ Business Development ★ United States ★ Europe ★ France ★ Morocco ★ China ★ Sub-Saharan Africa ★4d • 4 days ago

Votre Excellence le Ministre Monsieur Ryad Mezzour permettez moi de vous citer et de faire cette suggestion entre marocains et vous présenter mes travaux de recherches et de publications.

Après la signature de l’accord, M. Ryad Mezzour, Ministre de l’Industrie et du Commerce du Maroc déclare : « Une nouvelle étape dans le partenariat stratégique entre le Maroc et Le Groupe Renault commence par la signature de cet accord aujourd’hui, qui utilisera les ressources naturelles et l’industrie marocaines pour soutenir le développement de la mobilité électrique dans le monde et l’intégration profonde de la plateforme industrielle automobile nationale. “

Votre Excellence Monsieur Ryad Mezzour, vous avez également souligné “l’accélération de la transition vers l’électrification du secteur automobile marocain avec un approvisionnement durable et efficace en cobalt marocain pour les batteries électriques, parallèlement, nous travaillons à positionner le Maroc comme un producteur de batteries électriques et un acteur de référence de la mobilité durable », a ajouté M. le Ministre Ryad Mezzour.

Dans la droite ligne de votre déclaration, je vous prie de bien vouloir considérer et de veiller a positionner donc l’entreprise marocaine Ynna Holding pour ces batteries, “Achetons Made in Morocco “MadeinMorocco.org”​ en premier comme vous l’aviez souvent souligné.

Batteries par Ynna Holding
https://lnkd.in/gR7yqP7N

Nous restons reconnaissant a vos efforts.

Veuillez aussi votre excellence consulter mes recherches et mes écrits sur Renault Group et l’industrie automobile que je publies depuis 2010, y compris mon article dans un centre de recherches universitaire aux Etats Unis

By 🌎 Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. 🌍 published on ♦ 04-03, 2010

Selected as Top of 4 Articles published by the Global Edge Review at the Michigan State University – International Business Center Business College Complex:
https://lnkd.in/gA4WEMuW

By 🌎 Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. 🌍 analyses et publications sur l’Industrie Automobile y compris Renault Group:
https://lnkd.in/gbcRZPtu

🌎 Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. 🌍 analyses et publications sur le développement de la Technologie et du Numérique:
https://lnkd.in/gUFZcWgi

Bien a vous respectueusement votre Excellence Monsieur Ryad Mezzour

Ministry of Industry and Trade – Morocco
Ministry of Energy Transition and Sustainable Development – Kingdom of Morocco
Renault Group

Déclaration de son Excellence Mr. Ryad Mezzour fut transcrite par Renault Group en langue Anglaise et elle fut par la suite traduite de l’anglais au français par 🌎 Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D. 🌍

Internationalisation de la productivité et innovation mondiale : Division internationale de la robotique, de la logistique, de la technologie et de la biotechnologie


Strictement parlant, en ce qui nous concerne au Maroc, il n’y a pas de Néo dans la mondialisation actuelle. La mondialisation de toute nation ou entité économique se traduit souvent par l’émergence et l’adoption de la standardisation des méthodes de production, l’augmentation de la productivité, l’innovation technologique en termes de coûts de production intermédiaires et finaux. et la logistique-distribution et la fourniture du produit fini à haute valeur ajoutée.

L’extraction de cette valeur passe par un processus favorisant l’utilisation de main-d’œuvre vulnérable non syndiquée dans les pays tiers. D’autre part, une introduction de la robotique complète l’existence d’unités de production désignées par « usines de tournevis » orientées vers l’assemblage de produits de consommation courante et reposant sur l’utilisation d’une main-d’œuvre essentiellement féminine et de petites mains. En réalité, la réduction du coût du travail a été la principale raison de l’introduction des femmes dans ces entreprises d’assemblage manuel de sous-produits et de pièces détachées.

Une fois achevée la généralisation de cette main-d’œuvre féminine dans les pays sous-développés, il devenait plus rentable de délocaliser ce type de travail. 

Aux États-Unis, « les femmes anglophones de l’Alabama [un État agricole, relativement peu industrialisé et conservateur du Sud] ont été remplacées par celles de Hong Kong et d’Haïti, en grande partie les suivantes : jouets, textiles, prêt-à-porter, sports chaussures, appareils électroniques et aliments emballés.

Contrairement aux multinationales, les nouvelles entreprises mondiales ont développé un nouveau modèle d’entreprise grâce à une intégration verticale et horizontale de leurs opérations afin de réduire les coûts à tous les niveaux de leurs tâches de travail et de leur processus de production en intégrant et en organisant l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement des unités de production. , assemblage et distribution depuis le lieu de conception du concept jusqu’à l’achat final par le consommateur dans une même stratégie globale intégrée. Ainsi, le produit final n’est plus adapté aux spécificités culturelles et aux besoins de la clientèle régionale. C’est la nouvelle culture de la médiation sociale et médiatique qui définit le cadre de fabrication et d’exposition des produits. Les seules modifications sont apportées au niveau des applications installées localement et au niveau du langage utilisé pour le fonctionnement du produit technologique.

Multinationalisation et nouvelle division technologique et logistique du travail

Au niveau de la périphérie immédiate d’un marché porteur, les Global Multinationals installent des opérations et des outils de production technologiques très avancés conditionnant la production par des techniques robotiques et logistiques.

White Bonnet – White Bonnet, qu’il soit vendu ou acheté, le Petit Marocain est vendu et acheté avec et sa condition de marché sur le marché international, il n’a aucun effet de levier ou puce de négociation qui pourrait lui permettre directement de monétiser sa main d’œuvre ou la qualité de son formation ou ses besoins et aspirations au niveau même des produits qu’il est obligé d’acheter sur ce même marché international auquel il est soumis comme productivité marginalisée et sans aucune haute valeur ajoutée propre au niveau de ses connaissances technologiques et autres.

Dans ces conditions, la main-d’œuvre marocaine peut être facilement remplacée par un robot ou un travailleur d’un autre pays plus efficace ou similaire en termes de masse salariale ou de proximité des deux lieux essentiels, à savoir le pays pourvoyeur de l’investissement. et la conception du produit et le pays recevant les produits finaux comme marché de sortie.

Dans un tel imbroglio, l’ouvrier ou l’ouvrière marocaine n’est qu’une ressource humaine invalidante de plus et n’ayant aucune synergie vis-à-vis des obligations productives de la croissance de l’industrie marocaine et par conséquent, la main-d’œuvre marocaine est offerte au plus offrant sans combativité. ou compensation calée sur les salaires internationaux et ne peut donc s’affirmer au niveau du calcul du profit international que par les bas salaires dominant la structure productive au Maroc.

“Grogner sur les salaires”

Chez Renault Tanger, les négociations sociales de début d’année ont fait l’objet du mécontentement du principal syndicat représenté à l’usine, l’UMT, la plus grande centrale du Royaume du Maroc. Notamment une forte anticipation sur l’évolution des salaires, alors que le salaire minimum marocain vient d’augmenter sur un an de 10 % en deux temps ( à 2 570 dirhams par mois, soit 240 euros ).

Cela dit, « il n’y a pas eu de grève ni de débrayage. Et je rappelle que notre base salariale va au-delà du SMIG », note Paul Carvalho qui met en avant les avantages sociaux accordés en 2014 dont le principe du 13e mois. Le 14 février, l’UMT et Renault Maroc ont finalement signé un accord social dont le contenu complet n’a pas été dévoilé.

Selon Paul Carvalho, les augmentations de salaire sur le site tournent autour de 4,5 % en moyenne cette année. Des données qui intègrent sans doute différents paramètres (ancienneté, avancement, etc.). Source : Pierre-Olivier Rouaud

« Nissan a attribué hier à Carlos Ghosn sa rémunération de plus d’un milliard de yens, soit 9 millions d’euros, au titre de l’exercice 2015/2016. De quoi compléter les 7,5 millions d’euros déjà perçus chez Renault. Une situation de cumul des mandats de PDG de deux groupes mondiaux, exceptionnelle dans le monde économique et qui dure depuis plus de 10 ans.

Source : JULIEN BONNET L’USINE AUTO, CONSTRUCTEURS, RENAULT, NISSAN, KIA MOTO

C’est ainsi que le Maroc est racheté par des investisseurs étrangers : l’exemple de Tanger ou le Maroc doit intervenir pour sauver le projet vu le retrait de Nissan

« Le Maroc a déroulé le tapis rouge au constructeur : pas de taxe à l’exportation, pas d’impôt sur les bénéfices pendant cinq ans. Le royaume a également versé une prime d’investissement de 60 millions d’euros, et créé un centre de formation pour 8 millions. Une autoroute et une voie ferrée reliant directement l’usine au tout nouveau port de Tanger Med, à une trentaine de kilomètres à l’est, et à la zone franche, à l’ouest, où se trouvent les fournisseurs, ont par ailleurs mis à disposition.

History Making et « Marchandage » par Renault

Le Maroc doit intervenir pour sauver le projet compte tenu du retrait de Nissan

Parmi les aléas rencontrés au cours du projet, Nissan, allié de Renault, s’est désisté pendant la crise. Le financement a été réalisé par le Maroc, via la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), qui a pris mi-2009 48% du capital de l’entité qui exploite le site. Source: Cyrille Pluyette

Ceci est valable pour les produits de communication électronique portables et pour la production de véhicules. Le Maroc entre dans la sphère d’une telle stratégie internationale notamment par la présence de Renault-Nissan comme production destinée au marché intérieur, international et surtout européen. 


Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D.  published on ♦ 04-03, 2010

Sélectionné comme Top of 4 Articles publiés par la Global Edge Review à la Michigan State University – International Business Center Business College Complex :  publié initialement à ♦ gBR Article 04-03, et Said El Mansour Cherkaoui Copyright © 2010.

MondiaLOGANiganisation de la stratégie de développement de Renault _ Said El Mansour Cherkaoui Télécharger

By  Said El Mansour Cherkaoui, Ph.D.  analyses et publications sur l’Industrie Automobile et Renault – https://bagnolecherkaoui.wordpress.com/


Application Numérique, Economie du Savoir, Écosystème et Industrie Automobile au Maroc

Le Maroc doit faire face a une économie mondiale centrée sur l’exploitation commerciale du savoir, en l’occurrence l’innovation et le développement de secteurs a haute valeur ajoutée dont l’utilisation de l’intelligence artificielle augmente la différenciation technologique.  Ce décalage au détriment des pays subcapitalistes ayant une faible intégration technologique permet une plus grande réduction de coûts de production tout en augmentant le volume produit et un accroissement de l’écart entre les pays consommateurs et les pays détenteurs de la technologie tout en établissant de nouvelles formes de compétitivité doublées par un manque d’accès a l’innovation technologique qui est dorénavant justifiée par une invocation des lois du marché international et la division internationale du travail technologique.

Ces avances technologiques permettent aussi d’imposer une modernisation de l’infrastructure de transportation comme de celle même des aménités.     En fait, on assista au Maroc a un déferlement de réalisations modernisatrices qui étaient plus guidées par cet impact de l’attractivité sectorielle des investissements étrangers et show case afin de plaire au capital étranger.

  • Ce « monopole » de l’innovation technologique basée sur une nouvelle redistribution des taches productives, des décisions financières et des responsabilités gestionnaires sur le plan global et a travers une redéfinition de la division international du travail, tous dote les pays créateurs du privilège d’être les premiers innovateurs « first movers » qui en autres leur permet de dicter les conditions d’embauche, les traitements salariaux et sociaux et le niveau des bénéfices fiscaux et autres incitations offert par les politiques d’attractivité par les pays subcapitalistes vis-a-vis de l’investissement étranger direct productif.
  • Pour ces pôles industriels « Écosystèmes »,  une infrastructure fut modernisée et privilégiée dans la politique industrielle et régionale de l’Etat Marocain.  L’exemple de l’Alliance Renault – Nissan confirme et innove dans la mise en place de ces plateformes multinationales tournées vers les pays fournisseurs a la fois d’une main-d’oeuvre relativement a bas salaire et possédant une demande pour les véhicules assemblés localement tout en servant de fournisseurs pour les autres « clusters automotive » entourés d’une value-chain supply pour la production des composants et cela comme l’affirmation locale et régionale d’une stratégie internationale.
  • L’Économie Numérique et l’Économie du Savoir sont ainsi réintégrés à travers le monde permettant ainsi la création d’une synergie a la mode de écosystème comme plateformes pour la production et l’écoulement du produit final dans les marchés a proximité comme l’approvisionnement des autres usines dans les pays distants, ce qui est le cas actuellement de la présence de Renault au Maroc.  La production automobile au Maroc est en quelque sorte un « bridge’ entre ces considérations gestionnaires d’intégration internationale des unités de productions comme c’est un créneau de production de véhicules destinés a la fois a la demande locale, européenne et africaine.
  • « Les nouveaux investissements attestent du positionnement affirmé du secteur industriel du Royaume sur des activités à haute valeur ajoutée, ainsi que de la confiance d’opérateurs internationaux de renom dans le programme industriel national. Ils attestent aussi du changement de dimension industrielle à l’œuvre dans le Royaume qui migre ostensiblement vers un modèle économique solide confortant sa marche vers le concert des nations émergentes », rapporte la MAP.

Dans cette perspective, Moulay Hafid Elalamy Ministre de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie Numérique déclarait en 2015 que ces investisseurs « peuvent investir 100% et avoir une appropriation entière de leurs entreprises au Maroc.   Ils peuvent également rapatrier du pays 100 pour cent des dividendes et tous leurs gains quand ils vendent leur entreprise.  Donc, il y a une liberté totale en ce qui concerne le mouvement des capitaux.    » Le Ministre Elalamy souligna aussi l’importance de la formation des travailleurs, ce qui permettra le pays à mieux répondre aux exigences des entreprises étrangères.  Une incitation supplémentaire a été la création de 4 zones de libre-échange et des zones de production sectorielles de Kenitra, Nouacer, Tanger et Oujda, bénéficiant d’un taux d’imposition de 0% pour les cinq premières années d’exploitation, suivie d’une taxe de 8,75% pour une période de vingt ans.

Ces bénéfices et ces avantages accordés aux sociétés internationales par le Maroc sont orientés vers le renforcement de l’intégration du Maroc dans les rouages financiers et logistiques du marché international de la compétition technologique alors qu’en même temps le commerce extérieur reste déficitaire et que le Maroc vient juste de réintégrer l’Unité Africaine alors que ses investissement en Afrique sont en continuelle croissance: un autre paradoxe de la globalisation de l’Économie productive robotique et la régionalisation périphérique au niveau des services numériques.

Entre ces deux vecteurs complémentaires de la division internationale du travail techno-logistique navigue la stratégie préférentielle de localisation des unités de production tant pour les Entreprises Multinationales que pour les Entreprises Globales qui fonctionnent in fine sur la base d’un dénominateur commun, la baisse du coût du travail, la l’accaparement des produits à plus forte valeur ajoutée, l’augmentation du taux de profit et l’absence de loyauté territoriale ou nationale. 

Cette nouvelle forme d’expansion du capital international impose donc la liberté des échanges, la suppression des droits de douane et l’acceptation des investissements directs, notamment dans le secteur des services et les industries utilisant la robotique comme outil de production et comme force. travail de substitution.

Parallèlement, les facilités de crédit, de fiscalité et d’utilisation et d’appropriation des terres pour la location des entreprises doivent faire partie de l’ensemble des facilités et des avantages qui peuvent servir d’attraction pour ces entreprises mondiales. En définitive, certaines de ces entreprises mondiales n’ouvrent que des agences commerciales ou des banques pouvant faciliter l’octroi de crédit pour la vente de leurs produits de consommation.

Cette pénétration du capital financier se fait aussi à travers les prêts accordés par les organisations internationales telles que la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, ce qui complète effectivement la stratégie de cette mondialisation du capital productif et opérationnel.

En effet, l’une des conditions sine qua non est effectivement la discipline financière par l’augmentation des exportations de produits manufacturés et par l’atteinte d’un équilibre de la balance des paiements et d’un excédent de la balance des comptes commerciaux afin de pouvoir payer les échéances de ces mêmes crédits internationaux. Un cercle vicieux s’instaure ainsi pour les pays endettés qui les rend vulnérables aux aléas de la conjoncture internationale.

Depuis le début des années 1970, les pays sous-développés et du tiers-monde pataugent dans ces contradictions et paradoxes de l’intégration au marché international des produits, du travail et de la finance. En effet, leurs comptes courants et leur balance des paiements continuent de se détériorer sous l’effet de la hausse vertigineuse du prix du pétrole, des achats privés de produits de luxe pour les élites locales et, entre autres, des achats d’armes, toujours de plus en plus sophistiqués. par des gouvernements craignant pour leur sécurité.

Cette situation de dépendance extérieure était également renforcée par les facilités accordées aux capitaux étrangers par lesquels ces États vulnérables tentaient d’attirer la production et avaient donc instauré et entretenu une concurrence féroce entre eux pour son attraction par des largesses financières de toutes sortes. qui réduisent effectivement leurs entrées de devises et accroissent le rapatriement des bénéfices, impactant ainsi les comptes courants de la balance des paiements.

Dans la nomenclature de ces faveurs émerge la relation et l’alliance globale entre les dirigeants des pays qui suivent, acceptent et mettent en œuvre cette stratégie de mondialisation et les partisans du capital international et à leur tête les Multinationales et les Transnationales ainsi que les Firmes Globales.

Ces managers de pays tiers complètent les données stratégiques des Président Directeur Généraux d’entreprises mondiales sur le terrain en aval, et ce en tant que pôles complémentaires dispersés dans des pays se distinguant par une localisation stratégique ou l’existence de ressources naturelles ou humaines nécessaires à la production et aussi homogénéisées par les mêmes besoins et les réalisations réalisées dans d’autres pays de conception, de production ou de distribution. Le succès de cette mondialisation repose et se déploie grâce à la collaboration des classes dominantes, devenues des clientes structurelles.

Division Internationale 

Entre les écueils de cette tempête mondialisante, la sauvegarde du dénominateur commun des propres bases sociales du pouvoir est essentielle dans le cadre du maintien d’une certaine rentabilité de l’ensemble des opérations et d’une certaine réussite de leurs visées politiques et éco-financières par une réelle efficacité de leur contrôle et l’administration des pays sous réserve de leurs objectifs façonnés par le partage des bénéfices de la multinationalisation mondiale.

« Face à la mondialisation et aux effets du néolibéralisme triomphant, le système marocain réaffirme sa stabilité par la préservation des espaces rentiers pour les élites et par la reproduction des logiques clientélistes. Fin de citation – [Source : Ricardo Bocco, Avant-propos]

La conception de cette petite Matryoshka est en fait planifiée et dont la conception et la construction viennent de l’extérieur et dont les collaborateurs locaux et régionaux nous font danser autour de ce totem de pouvoir constitué par des vêtements nationaux et des traits physiques qui ne sont pas les nôtres.

Ces acteurs et collaborateurs d’une même forme subcapitaliste ne font de nous qu’un miroir et un reflet des desseins des autres qui ont transformé une puissance coloniale en une puissance nationale camouflée sous un habit traditionnel local pour mieux nous familiariser avec nous-mêmes tout en étant une représentation des autres puissances qui nous sont étrangères tant qu’elles restent à nos yeux.

En effet, malgré la démocratisation en place et sans qu’on nous demande notre avis, ces gouvernants étrangers et invisibles deviennent réels à travers ceux qui nous ressemblent par le regard et l’attitude ainsi que par le langage. Ces élites recto-verso et pleines de duplicité, autrefois appelées technocrates ou professionnels de la politique politique, servent et garantissent les intérêts des multinationales sur notre propre sol et ce malgré nos titres fonciers et nos luttes millénaires contre les envahisseurs. étrangers.   

Ces nouveaux gestionnaires du cadastre foncier sont les véritables responsables directs non seulement de l’usurpation de notre territoire et de sa braderie au gré des volontés et désirs des investisseurs institutionnels étrangers mais surtout de notre asservissement et de notre soumission aux aléas et bon vouloir de ceux qui manipulent les desseins de ce même grand capital international. Une élite occidentale et orientale plus grande et plus puissante qui ne possède et ne reconnaît aucune frontière et n’affiche aucune considération nationale.

Comme dit le proverbe, ceux qui vont ensemble se ressemblent. Dans cette irrationalité nationale et cette absence de scrupules culturels, la seule frontière commune entre ces deux formules de desseins expansionnistes est le degré d’extrapolation de la valeur ajoutée et le niveau de profit réalisé.

Ceux qui ne veulent pas vendre leur terre deviennent ceux qui dessinent leurs propres images sur leur propre Matriochka et comme toute Matriochka qui se respecte, elle remonte à Lénine dans le temps et l’espace de la mémoire moderne de ce capitalisme mondial qui n’a pas peur et ne se soucie pas de l’apparence des autres et qui n’a de considération que pour son propre profit.

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