De Sidi Ifni a Guelmim, “après moi le Déluge” dans le Désert Marocain

LA BONNE GOUVERNANCE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE DANS LA RÉGION DE GUELMIM – OUED NOUN

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L’Etat en ruine de l’ancien bâtiment d’administration militaire espagnol et consulat espagnol sur la Place Moulay Hassan II à Sidi Ifni, Province de Sidi Ifni, dans la Région de Guelmim-Oued Nun, Maroc


Madame Zineb EL ADAOUI au poste du Premier Président de la Cour des comptes devrait faire un Audit Compréhensif de cette gestion des deniers publics dans la région de Guelmim-Oued Noun en premier et en second les onze régions administratives du nouveau découpage territorial du Maroc.

Cet audit permettra de clarifier et de démontrer comment le Maroc est miné de l’intérieur par de tels agissements qui sont des détournements financiers et des abus de gestion flagrants dans l’allocation budgétaire de la Région dite de Guelmim-Oued Noun qui devrait en premier revenir à l’État Maroc.
Le peuple marocain a le droit de savoir si tout ce discours dans cette vidéo est réel ou bien c’est des accusations sans fondement.

Les Citoyen/nes Marocain/es en ce temps de crise et d’inflation et de récession rampante sont les proies des profiteurs et des abuseurs du système étatique et institutionnel.

Celles et ceux qui visent à implémenter un rapport démocratique et un développement durable basés sur la Bonne Gouvernance sont en premier les teneurs en compte et les répondants aux aspirations légitimes du peuple Marocain qui encourt une des ses plus grande crise économique et sociale alors que le Maroc est en même temps attaqué par des forces extérieures occultes et réelles de toutes natures. De même, le Maroc reste aussi accablé par sa dette publique comme par les déficits des balances de paiement et de la balance commerciale.

Le Maroc a besoin de nettoyer sa propre maison afin de réduire de tels agissements et ces mis-managements dont les vrais qualificatifs sont la corruption, le clientélisme, le favoritisme et le despotisme appliqués sous forme de budgétisation de la gestion des administrations régionales qui en fait deviennent des “vaches à lait et des sources de profit” transformant la structure administrative et les postes d’élu/es en source de racket et de détournements de fonds publics “légitimes et justifiés” comme ces chiffres cités alors qu’en réalité ce n’est qu’un aveu de corruption à double effet relationnel entre ceux qui occupent ces postes juteux qui font payer cher aux Marocain/es leur choix électoral et à l’État Marocain son absence de contrôle suivi et régulier de ses propres comptes et le laxisme imputé aux méthodes et aux procédures d’acquisition d’autorisation d’allocations budgétaires ou du vote du budget annuel. Ces méthodes de gestion budgétaire introverties sont en quelque sorte le résidu de cette politique de régionalisation tordue basée sur le principe de la monopolisation décisionnel et la centralisation au niveau urbain en ce qui concerne les besoins de toute la région, concentrant ainsi le pouvoir dans les mains d’une minorité de citadins élus décidant le sort de toute une région. Cette forme de régionalisation demeure ainsi axée sur la notion et la pratique d’opérations administratives territoriales distante des centres urbains de décision financière donnant la main libre a des manipulations budgétaires a travers des connivences basées entre autres sur la distribution de récompenses personnelles et directes pour loyauté partisane et copinage politicien sous forme et sous la couverture d’allocation budgétaires.

Moralité de l’Histoire de la Régionalisation Budgétaire:

  • “On n’est jamais mieux servi que par soi-même”
  • “Bak Sahbi Wa Wassani Alique”
  • “Les Copines et les Copains d’abord”

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