Laredo Fortaleza Mazagão: Tresors Disparus

Laredo de Manchester a Mazagan

Les Lettres Mystérieuses de la Correspondance entre Albert Einstein et Albert Laredo de Mazagan – El Jadida – Maroc

Quelle est l’origine de ces Lettres?

Rendre à Albert ce qui appartient aux Laredo

Comment ces lettres sont sorties de la Maison de Laredo qui se trouve en face de la Citerne Portugaise?

Ou sont tous les autres documents de commerce et des autres correspondances que le Père et les oncles de Albert Laredo maintenaient avec leurs cousins à Manchester et avec les autres grandes maisons de commerce en Grande Bretagne, aux USA et tous les autres pays avec lesquels notre ville entretenait comme relations commerciales d’import et export directes?

OU SONT ACTUELLEMENT LES LETTRES ORIGINELLES?

Ajouter à cela, une des plus grande bibliothèque de livres sur le Maroc, sur Mazagan et les autres centres commerciaux au Maroc et des livres en Français et en Anglais et autre langues existaient dans les salons et les salles tant au rez de chaussée qu’au premier étage sur le flanc de la cour intérieure de la Grande Bâtisse des Laredo.

Ceci sans parler des meubles antique et surtout du piano et des instruments de musique qui se trouvaient dans la salle centrale de fond.

OU SONT TOUS CES VESTIGES?

Albert Laredo comme virtuose Violoniste qui a parcouru toute l’Europe pour donner des concerts avait un des plus anciens violons qui existait au Maroc si ce n’est dans toute l’Afrique.

What is the origin of these Letters?

Return to Albert what belongs to the Laredos

How did these letters come out of the House of Laredo which is in front of the Portuguese Cistern?

Where are all the other business documents and other correspondence that the father and uncles of Albert Laredo maintained with their cousins in Manchester and with the other great trading houses in Great Britain, the USA and all the other countries with which our city maintained as direct import and export trade relations?

WHERE ARE THE ORIGINAL LETTERS NOW?

Add to this, one of the largest library of books on Morocco, Mazagan and other shopping centers in Morocco and books in French and English and other languages existed in the lounges and rooms both on the ground floor and on the first floor. first floor on the side of the interior courtyard of the Grande Batisse des Laredo.

This not to mention the antique furniture and especially the piano and musical instruments that were in the central back room.

WHERE ARE ALL THESE REMAINS?

Albert Laredo as a virtuoso violinist who traveled all over Europe to give concerts had one of the oldest violins that existed in Morocco if not in all of Africa.

ALBERT LAREDO lors de ses études de musique à PARIS en 1923.

Ou est ce fameux Violon?

Violons Stradivarius
Violons portant une étiquette Stradivarius
Antonio Stradivari est né en 1644 et a établi sa boutique à Crémone, en Italie, où il est resté actif jusqu’à sa mort en 1737. Son interprétation de la géométrie et du design pour le violon a servi de modèle conceptuel aux luthiers pendant plus de 250 ans.

Where is this famous violin?

Stradivarius Violins
Violins Bearing a Stradivarius Label
Antonio Stradivari was born in 1644, and established his shop in Cremona, Italy, where he remained active until his death in 1737. His interpretation of geometry and design for the violin has served as a conceptual model for violin makers for more than 250 years.

National Museum of American History Stradivarius Violoncello: the “Servais”


M A Z A G A N ★ ★ ★ ★ ★ E L J A D I D A

Laredo Texas ou Laredo Mazagan – El Jadida

Mazagao Mazagan El-Jadida – Jun 22, 2021   La Maison Laredo en face de la Citerne Portugaise ALBERT LAREDO lors de ses études de musique à PARIS en 1923. MAALEM ALBERTO LAREDO · A propos de la famille Larédo de Mazagan. Solomon Larédo, Originaire de Gibraltar, ayant épousé l’une de ses cousines de Manchester, s’est installé dans … Continue readingLaredo Texas ou Laredo Mazagan – El Jadida

D O U K K A L A ★ ★ ★ ★ ★ M A R O C

La Maison Laredo en face de la Citerne Portugaise

Copie de LAREDO 33.jpg
Photos de la part de Ouled Kabla Emilio Ohayon

ALBERT LAREDO lors de ses études de musique à PARIS en 1923.

n 1905.jpg
Merci ruben, on voit bien la date 1905 par dessus la porte d’entrée – Ouled Kabla Emilio Ohayon

La Maison de Laredo était un lieu plein de trésors en valeur monétaire et en valeur historique ainsi qu’en valeur humaine et culturelle.

 Les Laredo pratiquaient et parlaient couramment plusieurs langues et en premier l’Anglais puisque leur père Joseph s’est marié avec sa cousine de Manchester, eh oui de la ville de Richard Wright et tous ils furent éduqués comme des Britanniques à tous les points de vue.

 Cette éducation et leur niveau social de richesse et leur continuel contact avec la Grande Bretagne [le drapeau britannique flottait sur le balcon de la Maison Laredo durant toute la vie des Laredo jusqu’au milieu des années 70].

 Toutes ces caractéristiques faisaient que le reste des judaïques de Mazagan considéraient les Laredo comme des étrangers vu aussi que leur origine était de Gibraltar et non d’Azemmour et de l’Atlas comme le reste de la population judaïque mazaganaise.

Tous les Judaïques Mazaganais de Souche connaissent ce que je décris ici et même plus.

Ou sont tous ces diamants de notre propre histoire?

Perdus – Volés par des irresponsables ou ayant été vendus à des collecteurs clandestins?

Je voudrais bien que l’auteur de l’article sur les lettres echangees en Allemand entre Albert Einstein et Albert Laredo Mr. Mustapha Jmahri El Jadida nous rédige un article expliquant l’origine de ces lettres et surtout faire une investigation sur ce qui s’est passé après la mort d’Albert Laredo et Sam Laredo son Frère qui sont restés à El Jadida.

RAHMA WA GHOFRANE FI FIRDOUSSE NAIM AMEEN YA HACHEM / RAB ALAMEEN

2/12/2021

The House of Laredo was a place full of treasures in monetary value and historical value as well as human and cultural value.

The Laredos practiced and spoke several languages fluently and first of all English since their father Joseph married his cousin from Manchester, yes from the city of Richard Wright and they were all educated like Britons from all points of view .

This upbringing and their social level of wealth and their continual contact with Britain [the British flag flew from the balcony of the Laredo House throughout the Laredo’s lifetime until the mid-1970s].

All these characteristics meant that the rest of the Judaics of Mazagan considered the Laredo as foreigners, since their origin was from Gibraltar and not from Azemmour and the Atlas like the rest of the Mazagan Judaic population.

All Native Mazagan Judaics know what I am describing here and more.

Where are all these diamonds from our own history?

Lost – Stolen by irresponsible people or sold to clandestine collectors?

I would like the author of the article on the letters exchanged in German between Albert Einstein and Albert Laredo Mr. Mustapha Jmahri El Jadida to write us an article explaining the origin of these letters and above all to investigate what happened. passed after the death of Albert Laredo and Sam Laredo his brother who remained in El Jadida.

RAHMA WA GHOFRANE FI FIRDOUSSE NAIM AMEEN YA HACHEM / RAB ALAMEEN

2/12/2021

Mazagan Magazine

Said El Mansour Cherkaoui  ·   · 

PARTAGER ET FAITES PARTAGER CE TEXTE QUI SERA VOTRE VOIX DE LA DÉNONCIATION ET L’EXPRESSION D’UNE REQUÊTE POUR LA VÉRITÉ
**C’est l’arbre qui cache la forêt, on veut savoir la vérité des faits. **
Ne restez pas derrière la branche, faites passer le message et partager cette demande avec vos ami/es.
Apprécies votre contribution dans la recherche du vrai et la récupération de notre patrimoine national.
C’est bien d’approuver avec un pouce ou autre symbole, mais il serait encore mieux de partager ce texte, just Share ,,,,,

Quelle est l’origine de ces Lettres?

RENDRE À ALBERT CE QUI APPARTIENT AUX LAREDO
COMMENT CES LETTRES SONT SORTIES DE LA MAISON DE LAREDO QUI SE TROUVE EN FACE DE LA CITERNE PORTUGAISE?

Ou sont tous les autres documents de commerce et des autres correspondances que le Père et les oncles de Albert Laredo maintenaient avec leurs cousins à Manchester et avec les autres grandes maisons de commerce en Grande Bretagne, aux USA et tous les autres pays avec lesquels notre ville entretenait comme relations commerciales d’import et export directes?

OU SONT ACTUELLEMENT LES LETTRES ORIGINELLES?
  • Ajouter à cela, une des plus grande bibliothèque de livres sur le Maroc, sur Mazagan et les autres centres commerciaux au Maroc et des livres en Français et en Anglais et autre langues existaient dans les salons et les salles tant au rez de chaussée qu’au premier étage sur le flanc de la cour intérieure de la Grande Bâtisse des Laredo.

Ceci sans parler des meubles antique et surtout du piano et des instruments de musique qui se trouvaient dans la salle centrale de fond.
OU SONT TOUS CES VESTIGES?
Albert Laredo comme virtuose Violoniste qui a parcouru toute l’Europe pour donner des concerts avait un des plus anciens violons qui existait au Maroc si ce n’est dans toute l’Afrique.

Ou est ce fameux Violon?

La Maison de Laredo était un lieu plein de trésors en valeur monétaire et en valeur historique ainsi qu’en valeur humaine et culturelle.
Les Laredo pratiquaient et parlaient couramment plusieurs langues et en premier l’Anglais puisque leur père Joseph s’est marié avec sa cousine de Manchester, eh oui de la ville de Richard Wright ( Fameuse Siniya, Berade et ustensiles pour le thé)et tous ils furent éduqués comme des Britanniques à tous les points de vue.
Cette éducation et leur niveau social de richesse et leur continuel contact avec la Grande Bretagne [le drapeau britannique flottait sur le balcon de la Maison Laredo durant toute la vie des Laredo jusqu’au milieu des années 70].

TOUS LES JUDAÏQUES MAZAGANAIS DE SOUCHE CONNAISSENT CE QUE JE DÉCRIS ICI ET MÊME PLUS.

Ou sont tous ces diamants de notre propre histoire et notre patrimoine urbain et judaique?

Perdus – Volés par des irresponsables ou peut être vendues à des collecteurs clandestins?
**Je voudrais bien que Mr. Mustapha Jmahri El Jadida nous rédige un article expliquant l’origine de ces lettres et surtout faire une investigation sur ce qui s’est passé après la mort d’Albert Laredo et Sam Laredo son Frère qui sont restés à El Jadida. **

RAHMA WA GHOFRANE FI FIRDOUSSE NAIM AMEEN YA HACHEM / RAB ALAMEEN

2/12/2021

Mazagan Magazine

Said El Mansour Cherkaoui  ·   · 

PARTAGER ET FAITES PARTAGER CE TEXTE QUI SERA VOTRE VOIX DE LA DÉNONCIATION ET L’EXPRESSION D’UNE REQUÊTE POUR LA VÉRITÉ
**C’est l’arbre qui cache la forêt, on veut savoir la vérité des faits. **
Ne restez pas derrière la branche, faites passer le message et partager cette demande avec vos ami/es.
Apprécies votre contribution dans la recherche du vrai et la récupération de notre patrimoine national.
C’est bien d’approuver avec un pouce ou autre symbole, mais il serait encore mieux de partager ce texte, just Share ,,,,,

Quelle est l’origine de ces Lettres?

RENDRE À ALBERT CE QUI APPARTIENT AUX LAREDO
COMMENT CES LETTRES SONT SORTIES DE LA MAISON DE LAREDO QUI SE TROUVE EN FACE DE LA CITERNE PORTUGAISE?

Ou sont tous les autres documents de commerce et des autres correspondances que le Père et les oncles de Albert Laredo maintenaient avec leurs cousins à Manchester et avec les autres grandes maisons de commerce en Grande Bretagne, aux USA et tous les autres pays avec lesquels notre ville entretenait comme relations commerciales d’import et export directes?

OU SONT ACTUELLEMENT LES LETTRES ORIGINELLES?
  • Ajouter à cela, une des plus grande bibliothèque de livres sur le Maroc, sur Mazagan et les autres centres commerciaux au Maroc et des livres en Français et en Anglais et autre langues existaient dans les salons et les salles tant au rez de chaussée qu’au premier étage sur le flanc de la cour intérieure de la Grande Bâtisse des Laredo.

Ceci sans parler des meubles antique et surtout du piano et des instruments de musique qui se trouvaient dans la salle centrale de fond.
OU SONT TOUS CES VESTIGES?
Albert Laredo comme virtuose Violoniste qui a parcouru toute l’Europe pour donner des concerts avait un des plus anciens violons qui existait au Maroc si ce n’est dans toute l’Afrique.

Ou est ce fameux Violon?

La Maison de Laredo était un lieu plein de trésors en valeur monétaire et en valeur historique ainsi qu’en valeur humaine et culturelle.
Les Laredo pratiquaient et parlaient couramment plusieurs langues et en premier l’Anglais puisque leur père Joseph s’est marié avec sa cousine de Manchester, eh oui de la ville de Richard Wright ( Fameuse Siniya, Berade et ustensiles pour le thé)et tous ils furent éduqués comme des Britanniques à tous les points de vue.
Cette éducation et leur niveau social de richesse et leur continuel contact avec la Grande Bretagne [le drapeau britannique flottait sur le balcon de la Maison Laredo durant toute la vie des Laredo jusqu’au milieu des années 70].

TOUS LES JUDAÏQUES MAZAGANAIS DE SOUCHE CONNAISSENT CE QUE JE DÉCRIS ICI ET MÊME PLUS.

Ou sont tous ces diamants de notre propre histoire et notre patrimoine urbain et judaique?

Perdus – Volés par des irresponsables ou peut être vendues à des collecteurs clandestins?
**Je voudrais bien que Mr. Mustapha Jmahri El Jadida nous rédige un article expliquant l’origine de ces lettres et surtout faire une investigation sur ce qui s’est passé après la mort d’Albert Laredo et Sam Laredo son Frère qui sont restés à El Jadida. **

RAHMA WA GHOFRANE FI FIRDOUSSE NAIM AMEEN YA HACHEM / RAB ALAMEEN

Edition: J. Ruimy une carte postale par un Mazaganais – Jdidi – Archives de Said El Mansour Cherkaoui

Tout ce qui arrive actuellement à El Jadida et sa dégringolade se trouve dans le vol et l’escroquerie et la mise mise sur le patrimoine historique et d’archives de notre ville et de toutes les autres identités culturelles et artistiques y sont passées sous la djellaba, sous le manteau et de mains en mains sous la table et personne n’avait dénoncé de telles manoeuvres.

C’est ce silence et cette complicité involontaire qui a encouragé d’autres larcins et des mafiosis plus sophistiqués d’attaquer directement notre ville et d’en faire leur Turf, leur lieu de crimes et d’actes de corruption sans vergogne ni retenue ni considération d’être un jour mis sous les verrous. 

Tout la structure devient pourri jusqu’à l’os et le défi pour eux c’était qui celui qui allait devenir le Capo par être le premier à se remplir la panse, les poches et les entrailles des copains, des relations douteuses et ceux et celles de Babak Sahbi wa Wassani Alique.

Une épidémie régionale et citadine nourrie par des fléaux d’ordre nationaux avait envahi notre Ville d’El Jadida devenue subitement déserté par ceux qui s’étaient remplis les caisses à fond et sont allés s’installer dans d’autres villes pour vivre à l’aise, à l’oeil et à l’abri des yeux de ceux qu’ils ont volé et rendu miséreux, avoir la conscience tranquille et le confort loin des coups / cas de conscience ou de regret quotidien. 

Everything that is currently happening in El Jadida and its collapse is found in theft and swindling and the betting on the historical heritage and archives of our city and all the other cultural and artistic identities have passed there under the djellaba , under the coat and from hand to hand under the table and no one had denounced such maneuvers.

It is this silence and this involuntary complicity which has encouraged other thefts and more sophisticated mafiosis to directly attack our city and to make it their Turf, their place of crimes and acts of corruption without shame or restraint or consideration of being locked up one day.

The whole structure becomes rotten to the bone and the challenge for them was who would become the Capo by being the first to fill the belly, the pockets and the entrails of friends, dubious relationships and those and those of Babak Sahbi wa Wassani Alique.

A regional and urban epidemic fed by national scourges had invaded our City of El Jadida, which had suddenly become deserted by those who had filled their coffers to the bottom and went to settle in other cities to live at home. comfortable, in the sight and sheltered from the eyes of those whom they have stolen and made destitute, to have a clear conscience and comfort far from blows / cases of conscience or daily regret.


Ain Ma Chafet et Kalb Maa Oujeeaaa

Loin des yeux loin des coeurs et le carrousel macabre continuait de tourner sans musique saccadé par le rythme de l’exploitation et par les souffrances de l’usurpation ainsi que par les flux de détournements de biens publics doublés par des actes d’abus de l’environnement et de la dégradation des services publics. De telles injustices deviennent toutes la norme de la gestion et la règle du jeu sur un terrain sans spectateurs, sans arbitre ni témoins ni de conscience pouvant mesurer le mal a sa juste souffrance.

Dans la meme lancée et avec les mêmes manières occultes, c’est Siba légitimée par un monopole du pouvoir à travers les manipulations des élections et la distribution des faveurs et des récompenses de tout genre y compris la mise sous le tapis et la fermeture des yeux de ceux et celles qui sont censées d’être les phares de la vision sociale et culturelle.  Elles et ils ouvrent grandement leurs regards sur les sources du mal social qui est la raison de leur profit economique et leurs faveurs financières.  Le “Titanic” l’épave à l’entrée de notre ville demeure debout comme un témoin et un symbole sur la présence entre les villes de cette cité de piranhas qui ont complètement rongé toute la cargaison de ce bateau pour en faire des projets de la capitalisation et d’investissement personnels qu’ils ont par la suite lavées et rendus légitime en investissant le produit de ce naufrage en rente foncière et en récolte de moissons des fruits et des produits de la mer.   Le bois précieux transporté par ce Titanic devint l’instrument financier de financement des immeubles et de la construction de bateaux de pêche ainsi que d’autres produits mobiliers et autres.  

Une petite ville comme El Jadida servit donc comme un île de corsaire se nourrissant des bateaux qu’ils font échouer sur leur rivage en leur allumant des feux pour les attirer dans leurs pièges.   Des épaves deviennent des sources d’enrichissement individuel et de misère pour le reste de la population devenue complice du crime sans le savoir, juste par association et par preseMalika Boudhaim Tout ce qui arrive actuellement à El Jadida et sa dégringolade se trouve dans le vol et l’escroquerie et la mise mise sur le patrimoine historique et d’archives de notre ville et de toutes les autres identités culturelles et artistiques y sont passées sous la djellaba, sous le manteau et de mains en mains sous la table et personne n’avait dénoncé de telles manoeuvres.

C’est ce silence et cette complicité involontaire qui a encouragé de plus sophistiqué mafiosi d’attaquer directement notre ville et d’en faire leur Turf, leur lieu de crimes et d’actes de corruption sans vergogne ni retenue ni considération d’être un jour mis sous les verrous. Tout la structure devient pourri jusqu’à l’os et le défi pour eux / elles c’était qui celui ou celle qui allait être le premier/e à se remplir la panse, les poches et les entrailles des copains, des relations douteuses et ceux et celles de Babak Sahbi wa Wassani Alique.

Une épidémie régionale et citadine nourrie par des fléaux d’ordre national avait envahi notre Cité désertée par ceux qui s’étaient remplis les caisses à fond et sont allés s’installer dans d’autres villes pour vivre à l’aise et à l’abri des yeux de ceux qu’ils ont volé et rendu miséreux, avoir la conscience tranquille et le confort loin des coups de conscience ou de regret quotidien. Ain Ma Chafet et Kalb Maa Oujeeaaa.

Loin des yeux loin des coeurs et le carrousel de l’exploitation et de l’usurpation ainsi que du détournement doublées d’abus de l’environnement et de la dégradation des services publiques deviennent tous la norme de la gestion et la règle du jeu sur un terrain sans spectateurs, sans arbitre ni témoins ni de conscience pouvant mesurer le mal a sa juste souffrance.

Siba légitimée par un monopole du pouvoir à travers les manipulations des élections et la distribution des faveurs et des récompenses de tout genre y compris fermer les yeux sur le vol de notre patrimoine et voila un peu le circuit de distribution et de l’exploitation de ce qui appartient à notre héritage par une infime minorité agissante dans l’impunité totale vu l’amnésie généralisée de la population ainsi sujet de tels extrêmes agissements. 

Cette responsabilité sur leur propre entreprise et stratagème d’enrichissement personnel s’accompagne de leur aveuglement complet et volontaire sur le vol de notre patrimoine et voila un peu le circuit de distribution et de l’exploitation de ce qui appartient à notre héritage par une infime minorité agissante dans l’impunité totale vu l’amnésie généralisée de la population occupée par son état miséreux et peureux des murs qui ont des oreilles et qui est sujet et la première victime de tels extrêmes agissements. 

Si on perd notre mémoire, on perd le sens de la vie saine et même le passé simple ni la mémoire tatouée ne peuvent la sauver du dépérissement graduel et définitif.

Ain Ma Chafet and Kalb Maa Oujeeaaa

Far from sight far from hearts and the macabre carousel continued to turn without music jerky by the rhythm of exploitation and by the sufferings of usurpation as well as by the flows of embezzlement of public goods doubled by acts of abuse of the environment and the deterioration of public services. Such injustices all become the norm of management and the rule of the game on a field without spectators, without referees or witnesses or conscience able to measure the evil to its just suffering.

In the same vein and with the same occult manners, it is Siba legitimized by a monopoly of power through the manipulation of elections and the distribution of favors and rewards of all kinds including being put under the carpet and turning a blind eye. of those who are supposed to be the beacons of social and cultural vision. They and they greatly open their eyes to the sources of social evil which is the reason for their economic profit and their financial favors. The “Titanic” the wreck at the entrance of our city remains standing as a witness and a symbol of the presence between the cities of this city of piranhas who completely ate away all the cargo of this ship to make projects of the capitalization and personal investment which they later washed and legitimized by investing the proceeds of this shipwreck in ground rent and in harvesting harvests of fruits and seafood. The precious wood transported by this Titanic became the financial instrument for financing buildings and the construction of fishing boats as well as other movable and other products.

A small town like El Jadida therefore served as an island of corsairs feeding on the boats they run aground on their shore by lighting fires to lure them into their traps. Wrecks become sources of individual enrichment and misery for the rest of the population who have become accomplices to the crime without knowing it, just by association and by preseMalika Boudhaim Everything that is currently happening to El Jadida and its downfall is in the theft and the scam and the bet on the historical heritage and archives of our city and all the other cultural and artistic identities passed there under the djellaba, under the coat and from hand to hand under the table and no one had denounced such maneuvers.

It is this silence and this involuntary complicity which has encouraged more sophisticated mafiosi to directly attack our city and make it their Turf, their place of crimes and acts of corruption without shame or restraint or consideration of being a locked up day. The whole structure becomes rotten to the bone and the challenge for them was who was going to be the first to fill their bellies, pockets and entrails with friends, questionable relationships and those of Babak Sahbi wa Wassani Alique.

A regional and urban epidemic fed by national scourges had invaded our City, deserted by those who had filled their coffers to the bottom and went to settle in other cities to live at ease and sheltered from the eyes of those whom they have stolen and made destitute, to have a clear conscience and comfort far from the blows of conscience or daily regret. Ain Ma Chafet and Kalb Maa Oujeeaaa.

Out of sight out of mind and the carousel of exploitation and usurpation as well as misappropriation coupled with environmental abuse and the degradation of public services all become the norm of management and the rules of the game on a field without spectators, without referee or witnesses or conscience able to measure the evil with its just suffering.

Siba legitimized by a monopoly of power through the manipulation of elections and the distribution of favors and rewards of all kinds, including turning a blind eye to the theft of our heritage and here is a little about the circuit of distribution and exploitation of this which belongs to our heritage by a tiny minority acting with total impunity given the generalized amnesia of the population thus subject to such extreme acts.

This responsibility for their own business and personal enrichment scheme is accompanied by their complete and voluntary blindness to the theft of our heritage and here is a little the circuit of distribution and exploitation of what belongs to our heritage by a tiny minority acting with total impunity given the widespread amnesia of the occupied population by its miserable and fearful state of the walls which have ears and which is subject and the first victim of such extreme acts.

If we lose our memory, we lose the meaning of a healthy life and not even the simple past or the tattooed memory can save it from gradual and definitive decline.

À propos de la famille Larédo de Mazagan

Solomon Larédo, Originaire de Gibraltar, ayant épousé une de ses cousines de Manchester, s’installe dans cette ville vers 1880. La famille habite une magnifique maison dans le mellah. Tous les Mazaganais les connaissaient et les considéraient comme des étrangers. Ils se liaient rarement avec d’autres coreligionnaires. Salomon était le seul importateur de sucre et agent d’une grande entreprise anglaise.

About the Larédo de Mazagan family

Solomon Larédo, Originally from Gibraltar, having married one of his cousins ​​from Manchester, settled in this city around 1880. The family lived in a magnificent house in the mellah. All the Mazaganese knew them and considered them foreigners. They rarely linked up with other co-religionists. Salomon was the sole importer of sugar and agent for a major English company.

Their children were: Sami [Salomon], Jo, Moga, Albert (violinist)

Solly Laredo est le petit-fils de Salomon Laredo et le neveu d’Albert Laredo. Solly est le fils de Joe et Allegria Laredo

Mary Bensoussan, Sultana Bergel (la mère de Donnie et Minnie), Madame Pinto, Madame Elkaim puis leurs nombreux petits enfants dispersés à travers le monde comme nous tous.

Du centre-ville à la citerne portugaise

A cette époque, la Marquise était une Pâtisserie, Confiserie et Chocolaterie tandis qu’une librairie était sa proche voisine suivie par l’Épicerie Ouled Laredo du coin, le Frère de Monsieur Laredo Ancien Consul/Agent Commercial de Grande Bretagne et dont la bâtisse de leur Ancêtres et Pères de style mauresque, balcons et décoration de ferronnerie se trouve juste en face de la Citerne Portugaise.

Une lettre de quelqu’un que vous connaissez peut-être, c’est Salomon Laredo, dont voici le texte :

« Je suis né à Mazagan il y a 80 ans. J’ai quitté le Maroc en 1945 (Casablanca) pour vivre en Angleterre où je vis depuis.
J’ai quelques vieilles photographies et je collectionne les timbres et les couvertures de Mazagan – Mrs Pratt, Brudo, Spinney etc.
Salutations
Solly Laredo

Solly Laredo is the grandson of Salomon Laredo and the nephew of Albert Laredo.  Solly is the son of Joe and Allegria Laredo

Mary Bensoussan, Sultana Bergel (Donnie and Minnie’s mother), Madame Pinto, Madame Elkaim then their many little children scattered around the world like all of us.

From the City Center to the Portuguese Cistern

At that time, the Marquise was a Pastry, Confectionery and Chocolate Factory while a bookstore was its close neighbor followed by the Ouled Laredo Grocery on the corner, the Brother of Mr. Laredo Former Consul / Commercial Agent of Great Britain and whose battisse of their Ancestors and Fathers with Moorish style, balconies and ironwork decoration is just in front of the Portuguese Cistern.

A letter from someone you may know, it is Salomon Laredo, of which the following is the text:

“I was born in Mazagan 80 years ago. I left Morocco in 1945 (Casablanca) to live in England where I have lived ever since.
I have some old photographs and I collect stamps and covers of Mazagan – Mrs Pratt, Brudo, Spinney etc
Regards
Solly Laredo

Réponse de Said El Mansour Cherkaoui a Jacques Oiknine

Allah ya Atik Saha wa Baraka wa Tissir Ameen

Le Patriarche des Laredo est Joseph LAREDO dont on croit qu’il est né en 1801 c’est lui d’où vient les Laredo de Mazagan.

Si cette famille est une Laredo, elle doit être soit descendante d’une fille de Laredo

Je vais publier un jour sur les Laredo c’est une famille tentaculaire a Mazagan, les filles et les garçons de Minnie et Joseph se sont mariés dans les familles locales créant des Laredo a travers leurs filles et leurs fils dans toutes les familles de renom a Mazagan et à Casablanca.

La particularité de cette famille illustre les Laredo, c’est que les filles mariées à d’autres nom de famille avaient toujours maintenu et garder le nom de Laredo à côté de leur noms de mariages.

Cette pratique peut faire appeler cette famille Laredo alors que c’est une Mère Laredo et non le Père qui a un autre nom de famille et juste pour donner un seul exemple:

C’est le cas de Mary (Laredo) Bensoussan et Sultana (Laredo) Bergel qui sont le nom de leurs maris.

Sultana (Laredo) Bergel était une voisine de notre famille, les Bergel habitait une grande villa avec jardin qu’ils avaient construit eux même en face du Parc Lyautey ou les Bendelac avaient leur villa aussi et ou mon père avait construit aussi notre maison natale en 1920.

La maison que mon père a construite ressemble à celle des Laredo d’en face la Citerne Portugaise qui fut précédée puisque Joseph Laredo le Grand Papa l’avait construite en 1905, j’ai les photos des deux.

Revenons à nos moutons: les affiliations et les références pour les noms de familles varient chez nous selon l’importance et la réputation de la Famille de la Mariée qui va rester tout le temps appelée comme BENT et cela en parallèle au Nom de Famille de son Époux et cela n’est qu’un seul exemple, alors il faut savoir si cette famille dont tu parles comme tes voisins et aussi comme Laredo,:

Est ce que ce nom de Laredo vient du côté du Père?

Alors ma question est ce que tu connais le PRÉNOM ET LE NOM DE FAMILLE DU PÈRE pour déterminer le lien de parenté et de lignage que je pourrais tracer et explorer.

Jacques Oiknine

Albert Laredo Allah ya Rahmou était un ami de ma famille comme le fut son Frère avec les miens et leur père avec mon Père Allah ya Rhamhoum

J’ai hérité de Albert Laredo le violoniste ami de Albert Einstein avec qui il correspondait directement. Albert Laredo a joué des concerts en Angleterre et en Europe, c’est un virtuose du violon.

Response from Said El Mansour Cherkaoui to Jacques Oiknine

Allah ya Atik Saha wa Baraka wa Tissir Ameen

The Patriarch of the Laredo is Joseph LAREDO, who is believed to have been born in 1801, he is where the Laredo of Mazagan come from.

If this family is a Laredo, they must either be descended from a Laredo daughter

I will post one day on the Laredo it’s a sprawling family in Mazagan, the daughters and boys of Minnie and Joseph married into the local families creating Laredo through their daughters and sons in all the renowned families in Mazagan and Casablanca.

The peculiarity of this family illustrates the Laredo is that the daughters married to other surnames had always maintained and kept the name of Laredo next to their marriage names.

This practice can cause this family to be called Laredo when it is a Mother Laredo and not the Father who has another surname and just to give one example:

This is the case of Mary (Laredo) Bensoussan and Sultana (Laredo) Bergel who are the names of their husbands.

Sultana (Laredo) Bergel was a neighbor of our family, the Bergels lived in a large villa with a garden that they had built themselves opposite Lyautey Park where the Bendelacs also had their villa and where my father had also built our native house in 1920.

The house that my father built resembles that of the Laredo opposite the Portuguese Cistern which was preceded since Joseph Laredo the Grand Dad had built it in 1905, I have photos of both.

Let’s get back to business: affiliations and references for surnames vary with us according to the importance and reputation of the Bride’s Family who will always be called BENT and this in parallel with the Surname of her Spouse and this is just one example, so you have to know if this family you are talking about as your neighbors and also as Laredo,:

Does this name Laredo come from the Father’s side?

So my question is do you know the FATHER’S FIRST AND LAST NAME to determine the relationship and lineage that I could trace and explore.

Jacques Oiknine

Albert Laredo Allah ya Rahmou was a friend of my family as was his Brother with mine and their father with my Father Allah ya Rhamhoum

I inherited from Albert Laredo the violinist friend of Albert Einstein with whom he corresponded directly. Albert Laredo has played concerts in England and Europe, he is a violin virtuoso.

Ben Kort Le Maitre de la Tenfiha: Salon de Coiffure Homme entre Royale et CTM – Lieu de Rencontre de mon Frère, Albert Laredo et Bensimon en compagnie de Said El Mansour Cherkaoui

Albert Laredo mon ami aussi, il rendait visite à mon Frère à la CTM et a Bensimon juste à côté, le Coiffeur, on buvait du thé ensemble et le soir, on l’accompagnait a pied jusqu’à sa maison en face de la Citerne Portugaise où flottait encore un drapeau de la Grande Bretagne et cela même en 1972 et oui. Pour etre a l’aise, on s’asseyait a la Royale juste a cote, mais il aimait plus le the preparer par le Cafe Maure de l’autre cote de la CTM, un Cafe tenu par un Berbere a qui appartenait aussi la Saca – Marchand de Tabacs et surtout de materiel de Peche vu qu’en face se trouvait le Port de Mazagan. Alors, on lui cherchait le the marocain maure, et on partageait les delices francaises chez Madame Philippe qui tenait la Confiserie et la Patisserie la Marquise qui se trouvait juste le long du magasin du second Laredo, Sam Laredo qui en etait le gerant et le propriotaire. On faisait le tour de la Place de France, on avait les mémoires de mon père Moulay Ahmed Cherkaoui imbriquées avec celle du Pere des Laredo Joseph Laredo et enchevêtrées dans le partage de leurs fils qui continuant a tisser ces fils de parenté amicale a travers le temps mais surtout dans le même espace formée aussi par le même esprit de reconnaissance entre les familles Laredo, Cherkaoui et Bensimon. On était similaire dans le partage culturel et identique dans le sort et l’engrenage familial.

Albert Laredo my friend too, he visited my brother at the CTM and at Bensimon next door, the Hairdresser, we drank tea together and in the evening, we accompanied him on foot to his house in front of the Cistern Portuguese where a flag of Great Britain was still floating and that even in 1972 and yes. To be comfortable, we sat at the Royal next door, but he liked more the tea prepared by the Cafe Maure on the other side of the CTM, a cafe run by a Berber who also owned the Saca – Tobacco and especially fishing equipment merchant since opposite was the Port of Mazagan. So, we looked for him the Moorish Moroccan tea, and we shared the French delights at Madame Philippe who ran the Confectionery and the Patisserie la Marquise which was just along the store of the second Laredo, Sam Laredo who was the manager and the owner . We went around the Place de France, we had the memories of my father Moulay Ahmed Cherkaoui intertwined with that of the Father of the Laredo Joseph Laredo and entangled in the sharing of their sons who continued to weave these sons of friendly kinship through time but above all in the same space also formed by the same spirit of recognition between the Laredo, Cherkaoui and Bensimon families. We were similar in cultural sharing and identical in fate and family gearing.


Les Cabessa Calabassa chez Bensimon et Les Voisins d’Affaires de la Royal

Un Grand Ami de notre propre Frère Si Abdessalam Cherkaoui qui travaillait juste la porte a cote, SATIAME – CTM

Notre Frère m’emmenait avec lui pour se faire couper les cheveux chez Bensimon comme le faisait dans le temps notre Père Moulay Ahmed Cherkaoui dans le temps quand il avait un bureau dans la Gare Routière sur le devant du Port.

En fait, notre frère si Abdessalam avait continué la tradition ainsi.

Il faut dire que le Salon de Bensimon c’était aussi le rendez-vous pour mon Frère avec les Pilo, les Zenati, les Bensaleh, les Benatar, les Laredo, les Ruimy et les Abergel pour ne citer que peu et le Café Maure tenu par un Soussi sans soucis cousin de celui qui avait la Saca et en meme temps tout le matériel de pêche y compris les longues cannes de pêche devant la saca et le Hri de Ouled Hamri les deux juste adossée à la petite ruelle cul de sac ou se trouvait le studio de Abdellah Swar et a cote c’est l’Hôtel de la Mère de Max Pilo.

Alors les bérades faisaient la balade et la navette pour couler à flot chez Baba Bensimon pour de telles rencontres et comme la Saca n’était pas loin, alors la tradition aussi du partage était la Tenfiha, et oui avec le thé maure, menthe de Brouj et Socar Souiri / Nmer, il fallait sniffer aussi le goût amer maure aussi la poudre marrante marron ocre du tabac en poudre de Zmamra.

Aussi c’est dans le salon de Bensimon que mon Frère avec le reste de sa bande de copains judaïques, planifient les visites des Saints Judaïques de Moulnisse d’Azemmour jusqu’à Moul Hench de Ourika.

Boco d’histoires dans ce Salon qui était un lieu de rencontres fraternelles entre les Musulmans et les Judaïques de Mazagan – El Jadida, celles et ceux qui ont grandi ensemble et ont aussi hérité des traditions directes de leurs propres pères et mères et sont ainsi devenu/es responsables pour sa continuité.

Chez Baba Bensimo on rencontrait que les “grosses légumes, je devrais dire les Grosses Citrouilles de Mazagan – El Jadida” Los Cabessa Calabassa comme disait mon Oncle Haj Abdellah Taleb Hmad Lyoussi – Ait Youssi, Rabouna Karim. En face de son Cafe, qui s’appelait Cafe des Sports, Il y avait aussi le cousin de Baba Bensimon qui occupait un magasin en face de l’ancien Cin

Un Grand Ami de ton propre Frère Si Abdessalam Cherkaoui qui travaillait juste la porte a cote, SATIAME – CTM

Notre Frère m’emmenait avec lui pour se faire couper les cheveux chez Bensimon comme le faisait dans le temps notre Père Moulay Ahmed Cherkaoui dans le temps quand il avait un bureau dans la Gare Routière sur le devant du Port.

En fait, notre frère si Abdessalam avait continué la tradition ainsi.

Il faut dire que le Salon de Bensimon c’était aussi le rendez-vous pour mon Frère avec les Pilo, les Zenati, les Bensaleh, les Benatar, les Laredo, les Ruimy et les Abergel pour ne citer que peu et le Café Maure tenu par un Soussi sans soucis cousin de celui qui avait la Saca et en meme temps tout le matériel de pêche y compris les longues cannes de pêche devant la saca et le Hri de Ouled Hamri les deux juste adossée à la petite ruelle cul de sac ou se trouvait le studio de Abdellah Swar et a cote c’est l’Hôtel de la Mère de Max Pilo.

Alors les bérades faisaient la balade et la navette pour couler à flot chez Baba Bensimon pour de telles rencontres et comme la Saca n’était pas loin, alors la tradition aussi du partage était la Tenfiha, et oui avec le thé maure, menthe de Brouj et Socar Souiri / Nmer, il fallait sniffer aussi le goût amer maure aussi la poudre marrante marron ocre du tabac en poudre de Zmamra.

Aussi c’est dans le salon de Bensimon que mon Frère avec le reste de sa bande de copains judaïques, planifient les visites des Saints Judaïques de Moulnisse d’Azemmour jusqu’à Moul Hench de Ourika.

Boco d’histoires dans ce Salon qui était un lieu de rencontres fraternelles entre les Musulmans et les Judaïques de Mazagan – El Jadida, celles et ceux qui ont grandi ensemble et ont aussi hérité des traditions directes de leurs propres pères et mères et sont ainsi devenu/es responsables pour sa continuité. Shabbat Shalom.  

ma Métropole – Taj – Rif, il était Tailleur de Style et dont le Frère de Si Mohamed Naim, notre Steve Reeves travailla et appris le métier avec lui. Par la suite, Naim le Tailleur ouvrit son échoppe dans l’intervalle entre Cafe Behara qui amène au souk de Khiatas / Baya Café et l’autre qui remonte la Degaga et aboutit sur Jarda, ancienne Place Galieni et Mershan.

Ces Cabessa Calabassa venaient chez Bensimon Salon de Facelift, une source de jouvence mais aussi comme tous les Coiffeurs qui se respectent étaient des sources de connaissance, un genre de Radio Medina et Trottoir ensemble pour les cours des affaires mazaganaises. En effet, les Salons de Coiffure et de Béatification servaient aussi comme des mini-bourse de valeurs éparpillées dans un périmètre urbain central et périphérique concentrée et servaient donc de points de r

encontre, d’échange et de transactions de valeurs de toutes sortes qui faisaient de ces lieux un prestige d’en faire partie.

Un de ces riches caractères était le Benjamin Laredo, le Frère Benjamin de celui qui tenait une Épicerie au coin entre la Marquise et le Café et Brasserie des Negociants de Borgia, Khenzou et par la suite est devenu Tarik par la suite.

Les Laredo de Mazagan étaient originaires de Jebel Tarik les descendants des premiers Judaïques venus s’installer a Mehdouma lorsque le Roi Sidi Abderrahman entreprit un repeuplement de la Ville suite au départ des Portugais.

Les Laredo étaient aussi les directs descendants des premiers Judaïques Maures chassés de la Grande Andalousie suite a Reconquista et l’Inquisition par Alphonse 6 et Isabella la Catholique. Nos veillées tardives et les discussions attenantes avec Mr. Laredo étaient pour nous aussi des cours d’Histoire que par la suite des études plus avancées ne faisaient que confirmer l’authenticité de leurs narrations et leurs origines.

En effet, le soir tard, on raccompagnait Mr. Laredo qui avec sa canne de bois d’ébène, d’ivoire et avec une pomme d’argent, habillé comme Borsalino / Al Capone, d’un trois pièces et coiffé d’un chapeau de circonstances, on avait l’impression de marcher a cote de Orson Welles que l’on accompagnait vers les lieux de son tournage, juste en face de la Citerne Portugaise. Mr. Laredo était un grand homme de bonne carrure et portait toujours des livres, magazines et journaux, un homme de lettres et de prestige social, une écharpe de soie et un mouchoir pendait de la petite poche d’en haut de son costard le rendait comme un géant des planches du Palais Garnier, emergeant par la porte des artistes, debouchant sur le port de Mazagan et des lieux ou ses ancestres tenaient la place comme les representants des interets commerciaux des maisons de commerce internationales de London, Manchester, Liverpool et Gibraltar.

Mazagan – El Jadida abrita durant le 19 eme siècle et au delà une forte communauté britannique dont les aïeuls sont actuellement enterrés dans un cimetière britannique qui se situait a l’époque a l’orée de la bordure de la cite et qui vu l’élargissement de la ville depuis lors, ce cimetière existe toujours et se trouve en plein centre de la ville protégé et entoure par la présence en face de la plus grande mosquée et par les immeubles et maisons lui servant de murailles protectrices naturelles et spirituelles.

Mr Laredo nous invitait toujours a l’intérieur de sa grande demeure, un palais moresque des plus représentatifs de la fusion de l’architecture portugaise, andalouse et des riad marocains d’antan. A l’intérieur et pour l’époque, il avait la plus grande collection de livres sur la Ville d’El Jadida et nous laissait les lire et regarder toutes les photos anciennes qui y figuraient.

Par cela, on redécouvrait notre ville et nous commençons déjà a comprendre qu’elle était déjà sur la voie d’être ensevelie par d’autres mémoires et d’autres déviations de la pensée citadine. En effet, déjà a cette époque, on voyait déferler devant nous les fantômes et les ombres des bâtisseurs de cette ville qui s’acharnaient a ne pas la laisser se faire emporter par les vagues et les tempêtes mercantilistes et spéculatives qui ne regardent que la façade de la rentabilité immédiate et incongrue socialement parlant.

Mr. Laredo était un homme jovial qui nous parlait avec l’accent Doukkalais et un Français nourrit d’Anglais, une encyclopédie vivante et expérimentée était devant nous, alors que nous on était encore des Élèves du Lycée.

Les Cabessa Calabassa at Bensimon and Les Voisins d’Affaires de la Royal

A Great Friend of our own Brother Si Abdessalam Cherkaoui who worked just next door, SATIAME – CTM

Our Brother took me with him to have my hair cut at Bensimon’s as our Father Moulay Ahmed Cherkaoui did in the old days when he had an office in the Bus Station in front of the Port.

In fact, our brother if Abdessalam had continued the tradition as well.

It must be said that the Salon de Bensimon was also the meeting place for my brother with the Pilo, the Zenati, the Bensaleh, the Benatar, the Laredo, the Ruimy and the Abergel to name but a few, and the Café Maure held by a carefree Soussi cousin of the one who had the Saca and at the same time all the fishing equipment including the long fishing rods in front of the saca and the Hri of Ouled Hamri the two just leaning against the small cul-de-sac alley where was Abdellah Swar’s studio and next to it is Max Pilo’s Mother’s Hotel.

So the berades made the trip and the shuttle to flow afloat at Baba Bensimon for such meetings and as the Saca was not far, then the tradition also of sharing was the Tenfiha, and yes with Moorish tea, mint from Brouj and Socar Souiri / Nmer, it was necessary to sniff also the Moorish bitter taste also the funny ocher brown powder of the powdered tobacco of Zmamra.

Also it is in Bensimon’s living room that my brother with the rest of his band of Jewish friends, plan the visits of the Jewish Saints from Moulnisse d’Azemmour to Moul Hench de Ourika.

Boco of stories in this Salon which was a place of fraternal encounters between the Muslims and the Judaics of Mazagan – El Jadida, those who grew up together and also inherited the direct traditions of their own fathers and mothers and thus became / are responsible for its continuity.

At Baba Bensimo we met only the “big vegetables, I should say the Big Pumpkins of Mazagan – El Jadida” Los Cabessa Calabassa as my Uncle Haj Abdellah Taleb Hmad Lyoussi said – Ait Youssi, Rabouna Karim. In front of his Cafe, which was called Cafe des Sports, There was also Baba Bensimon’s cousin who occupied a store in front of the old Cin

A Great Friend of your own Brother Si Abdessalam Cherkaoui who worked just next door, SATIAME – CTM

Our Brother took me with him to have my hair cut at Bensimon’s as our Father Moulay Ahmed Cherkaoui did in the old days when he had an office in the Bus Station in front of the Port.

In fact, our brother if Abdessalam had continued the tradition as well.

It must be said that the Salon de Bensimon was also the meeting place for my brother with the Pilo, the Zenati, the Bensaleh, the Benatar, the Laredo, the Ruimy and the Abergel to name but a few, and the Café Maure held by a carefree Soussi cousin of the one who had the Saca and at the same time all the fishing equipment including the long fishing rods in front of the saca and the Hri of Ouled Hamri the two just leaning against the small cul-de-sac alley where was Abdellah Swar’s studio and next to it is Max Pilo’s Mother’s Hotel.

So the berades made the trip and the shuttle to flow afloat at Baba Bensimon for such meetings and as the Saca was not far, then the tradition also of sharing was the Tenfiha, and yes with Moorish tea, mint from Brouj and Socar Souiri / Nmer, it was necessary to sniff also the Moorish bitter taste also the funny ocher brown powder of the powdered tobacco of Zmamra.

Also it is in Bensimon’s living room that my brother with the rest of his band of Jewish friends, plan the visits of the Jewish Saints from Moulnisse d’Azemmour to Moul Hench de Ourika.

Boco of stories in this Salon which was a place of fraternal encounters between the Muslims and the Judaics of Mazagan – El Jadida, those who grew up together and also inherited the direct traditions of their own fathers and mothers and thus became / are responsible for its continuity. Shabbat Shalom.

my Metropolis – Taj – Rif, he was a Style Tailor and whose Brother of Si Mohamed Naim, our Steve Reeves worked and learned the trade with him. Subsequently, Naim the Tailor opened his shop in the interval between Cafe Behara which leads to the souk of Khiatas / Baya Café and the other which goes up the Degaga and ends in Jarda, former Place Galieni and Mershan.

These Cabessa Calabassa came to Bensimon Salon de Facelift, a source of youth but also like all hairdressers who respect themselves were sources of knowledge, a kind of Radio Medina and Trottoir together for the Mazagan business courses. Indeed, the Hairdressing and Beatification Salons also served as mini-stock exchanges scattered in a concentrated central and peripheral urban perimeter and therefore served as points of r

counter, exchange and value transactions of all kinds that made these places a prestige to be part of.

One of these wealthy characters was the Benjamin Laredo, Brother Benjamin of the one who ran a grocery store on the corner between the Marquise and the Borgia Traders’ Cafe and Brewery, Khenzou and later became Tarik thereafter.

The Laredo of Mazagan were from Jebel Tarik, the descendants of the first Judaics who came to settle in Mehdouma when King Sidi Abderrahman undertook a repopulation of the city following the departure of the Portuguese.

The Laredos were also the direct descendants of the first Jewish Moors driven out of Greater Andalusia following the Reconquista and the Inquisition by Alfonso 6 and Isabella the Catholic. Our late evenings and the adjoining discussions with Mr. Laredo were for us also history lessons that later more advanced studies only confirmed the authenticity of their narrations and their origins.

In fact, late at night, we accompanied Mr. Laredo who, with his cane of ebony, ivory and with a silver apple, dressed like Borsalino / Al Capone, in a three-piece and wearing a Hats off to the circumstances, we had the impression of walking next to Orson Welles who we were accompanying to the location of his filming, just in front of the Portuguese Cistern. Mr. Laredo was a tall man of good build and always carried books, magazines and newspapers, a man of letters and social prestige, a silk scarf and handkerchief hanging from the small top pocket of his suit made him like a giant from the planks of the Palais Garnier, emerging through the artists’ door, leading to the port of Mazagan and the places where his ancestors held the place like the representatives of the commercial interests of the international trading houses of London, Manchester, Liverpool and Gibraltar .

Mazagan – El Jadida housed during the 19th century and beyond a strong British community whose ancestors are currently buried in a British cemetery which was located at the time on the edge of the edge of the city and which saw the enlargement of the city since then, this cemetery still exists and is located in the center of the city protected and surrounded by the presence in front of the largest mosque and by the buildings and houses serving as its natural and spiritual protective walls.

Mr. Laredo always invited us inside his large residence, a Moorish palace most representative of the fusion of Portuguese, Andalusian architecture and Moroccan riads of yesteryear. Inside and for the time, it had the largest collection of books on the City of El Jadida and let us read them and look at all the old photos that were there.

Through this, we rediscovered our city and we are already beginning to understand that it was already on the way to being buried by other memories and other deviations from city thinking. Indeed, already at that time, we saw unfurling before us the ghosts and shadows of the builders of this city who were determined not to let it be carried away by the waves and the mercantilist and speculative storms which only look at the facade. immediate and socially incongruous profitability.

Mr. Laredo was a jovial man who spoke to us with a Doukkalais accent and a French fed with English, a living and experienced encyclopedia was in front of us, while we were still High School students.

La Marquise – La Royale: Dynastie des Philippes

Les Délices de notre Ville en Saveur et en Caractère Mr. et Mme Philippe et les Silhouettes de la Renaissance de Mazagan et El Jadida A l’origine Madame Philippe était une institutrice a l’École Foch si je ne m’abuse pas ma mémoire ou avec Abdelkrim – Krimou (Chiadmi) Moundib (Rahimahou Allah) -Krimou – Abdelkrim Chergui, Jillali Fifani, Aboukacem Aboufariss pour ne citer que ceux qui … Lire la suite

On venait chercher Albert Laredo aussi dans la maison et ils nous jouait le violon, nous montrait son extraordinaire bibliothèque de livres sur Mazagan, les documents sur la relation commerciale entre Mazagan et London, sa maison était un palais avec des tresors de connaissance et du savoir ainsi que de l’art sous toutes ses formes. Je m’arrête parce que tout cela me fait pleurer à l’intérieur comme si la brume envahissait mon regard.

Avant que je dises quoi que ce soit, je vais demander à notre expert en la matière, Ouled Kabla Emile Ohayon

Mazagan les Musulmans et les Judaïques avaient la même habitude culturelle dans le sens de donner des surnoms qui devenaient par la suite des noms de famille, des fois ils deviennent des noms officiels des fois ils restent des surnoms de réputation.

C’est dans ce sens que ton nom comme le mien sont de la même origine et forment de la même façon.

Des fois parce qu’ on ressemble à une nationalité européenne ou une autre civilisation vu nos caractéristiques physiques ou quelque mots que nous avons tenus, cela devient la raison du surnom et même du nom de famille comme aussi l’est la profession originelle d’un de nos parents lointains ou proches.

A SUIVRE PLUS SERA ÉCRIT SUR CETTE FAMILLE ILLUSTRE ET NOBLE QUI MARQUA MAZAGAN ET EL JADIDA DE SA PRÉSENCE ET DE SA GÉNÉROSITÉ ENVERS LA POPULATION MUSULMANE ET AUSSI JUDAÏQUE.

La Marquise – La Royale: Dynastie des Philippes

The Delights of our City in Flavor and Character Mr. and Mrs. Philippe and the Renaissance Silhouettes of Mazagan and El Jadida Originally Mrs. Philippe was a teacher at the Foch School if memory serves me correctly. with Abdelkrim – Krimou (Chiadmi) Moundib (Rahimahou Allah) -Krimou – Abdelkrim Chergui, Jillali Fifani, Aboukacem Aboufariss to name only those who … Read more

We came to get Albert Laredo also in the house and he played the violin for us, showed us his extraordinary library of books on Mazagan, documents on the commercial relationship between Mazagan and London, his house was a palace with treasures of knowledge and knowledge as well as art in all its forms. I stop because all this makes me cry inside as if the mist invaded my eyes.

Before I say anything, I will ask our subject matter expert, Ouled Kabla Emile Ohayon

Mazagan Muslims and Judaics had the same cultural habit in the sense of giving nicknames which later became surnames, sometimes they become official names sometimes they remain reputation nicknames.

It is in this sense that your name as mine are of the same origin and formed in the same way.

Sometimes because we look like a European nationality or another civilization given our physical characteristics or whatever words we have used, this becomes the reason for the nickname and even the family name as well as the original profession of a of our distant or close relatives.

TO FOLLOW MORE WILL BE WRITTEN ON THIS ILLUSTRIOUS AND NOBLE FAMILY WHO MARKED MAZAGAN AND EL JADIDA WITH ITS PRESENCE AND ITS GENEROSITY TOWARDS THE MUSLIM AND ALSO JUDAIC POPULATION.

Said El Mansour Cherkaouisaidcherkaoui@triconsultingkyoto.com

– Tous les Droits Reserves – All Right Reserved.

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