Le livre de Jean-Jacques Servan-Schreiber: “Le Défi américain”

The American Challenge | work by Jean-Jacques Servan-Schreiber

Un document clé par Jean Jacques Servan Schreiber qui sonna le glas d’une telle guerre entrepreneuriale entre the U.S. Rising Star et Europe et cela sous le pretexte de la strategie de Containment des “communistes” de l’URSS.

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Jean-Jacques Servan-Schreiber, (né le 13 février 1924 à Paris, France—mort le 7 novembre 2006 à Fécamp), journaliste et homme politique français.

Servan-Schreiber s’est porté volontaire dans les forces de l’Armée française libre de Charles de Gaulle en tant que pilote de chasse en 1943 et a reçu la Croix de la vaillance pour ses services. En 1947, il est diplômé de l’École polytechnique. Après avoir été rédacteur en chef des affaires étrangères du quotidien parisien Le Monde (1948-1953), il fonde et dirige (1953-1970) L’Express, un magazine d’information hebdomadaire modérément à gauche sur le modèle du Temps. La publication de L’Express a été interrompue temporairement en 1954 lorsque le magazine a publié un rapport gouvernemental top secret. En 1956, Servan-Schreiber est enrôlé dans l’armée, et l’expérience forme la base de son premier livre, Lieutenant en Algérie (1957; Lieutenant en Algérie), qui expose les atrocités françaises dans la guerre d’indépendance algérienne. Le livre controversé a ensuite été crédité d’avoir aidé à retourner l’opinion publique française contre le conflit algérien. Dans Le Défi américain (1967 ; The American Challenge), il met en garde contre le fait que l’Europe ne devienne qu’une simple colonie économique des États-Unis. Un best-seller immédiat, l’ouvrage a finalement été traduit dans plus de 20 langues.

Servan-Schreiber a été secrétaire général du Parti radical (1969-1971) et président (1971-1975, 1977-1979). Son Ciel et terre : Manifeste radical (1970 ; L’Alternative radicale, 1970) est un manifeste de parti. Élu député à l’Assemblée nationale en 1970, il a été brièvement ministre des réformes dans le gouvernement du président Valèry Giscard d’Estaing mais a été évincé pour s’être opposé à la politique gouvernementale sur les essais nucléaires.

Servan-Schreiber fonde le Mouvement Réformateur en 1972 avec Jean Lecanuet et occupe à nouveau brièvement les fonctions de ministre des réformes en juin 1974. Il est président du Conseil régional de Lorraine de 1976 à 1978 et fonde en 1979 le Groupe de Paris (« Groupe de Paris »), avec lequel il publie Le Défi mondial (1980 ; The World Challenge, 1980). Il continue également dans les années 1970 à être associé à la direction de L’Express. De 1988 à 1994, Servan-Schreiber a été professeur à l’Université Carnegie Mellon aux États-Unis.

Parmi les autres publications de Servan-Schreiber, citons Les Réveil de la France (1968; The Spirit of May, 1969), une collection d’éditoriaux examinant les causes des soulèvements étudiants en France en 1968; Forcer le destin (1970 ; “Forcing Destiny’s Hand”); Le Pouvoir régional (1971 ; « Pouvoir régional ») ; Appel à la réforme (1971 ; “Un appel à la réforme”); L’Arme de la confiance (1976; “L’arme de la confiance”); et Le Manifeste (1977 ; « Le Manifeste »).

Cet article a été récemment révisé et mis à jour par Amy Tikkanen.

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Tahar Houhou • 1st• Citoyen du Monde

Dans le même sens, d’après un ami ancien ingénieur chez Bulle, Giscard avait favorisé son concurrent IBM et coulé Bulle pour faire plaisir à son fils. Nous sommes un pays de collabos qu’on décore chaque année de la légion de la honte.

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Kamel Benkennine • 2nd• Journaliste chez La presse du peuple • 1d •

“Je m’appelle Frédéric Pierucci, ancien patron d’une des filiales d’Alstom. Après avoir été contraint au silence, j’ai décidé de révéler les dessous d’un thriller à 12 milliards de dollars. En avril 2013, j’ai été arrêté par le FBI pour une affaire de corruption. Je n’ai pas touché un centime, mais les autorités américaines m’ont emprisonné pendant plus de deux ans. Un véritable chantage pour obliger Alstom à payer une gigantesque amende et à se vendre à General Electric, son grand concurrent américain. Mon histoire illustre la guerre secrète que les États-Unis livrent à l’Europe en détournant le droit et la morale pour les utiliser comme des armes économiques. L’une après l’autre, nos plus grandes sociétés (Alcatel, Total, Société Générale, etc.) sont déstabilisées. Et ce n’est qu’un début…”

«La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort.»

François Mitterrand
Président de la république française.

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D o n a t e u r s

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