« El Baz » faucon de Doukkala, oiseau seigneur de la peinture d’El Jadida

lll Site Officiel – Andre Elbaz-Faucon lll طير الحر lll Teyr El Hor lll

Said El Mansour Cherkaoui

January 18, 2020  · Un Berad, Ataye de Doukkala Préparé par André ElBaz a El Jadida, chez lui

ANDRE ELBAZ LE JDIDI – LE MAZAGANAIS

Biographie Andre Elbaz [incomplète]

1934 – Ne le 26 avril à El Jadida, André Elbaz est le troisième enfant d’une famille qui en comprendra sept. Son père, Elie Elbaz est l’un des premiers photographes marocains. Egalement conteur, violoniste, luthiste, André Elbaz dirige l’orchestre andalou d’El Jadida.

1942 – La famille déménage a Casablanca pour soigner l’asthme que leur fils a contracté des son jeune age. Au retour d’une séance de soins à l’hôpital, son père et lui sont surpris par une violente déflagration. Arrives au domicile familial, non loin du port, ils trouvent le carrelage jonché de cheveux épars, de pompons et de lambeaux de tenues de marins. Le “jean Bart” venait d’être dynamité par des avions américains. Cette même année, la famille retourne à El Jadida, au 27 de la rue El Hadjar, la rue des Menuisiers.

1944-48 – A partir de l’age de neuf ans, André Elbaz va beaucoup au cinéma et ne rêve que de théâtre. Avec des camarades de son age, il met en scène des spectacles pour enfants et donne des représentations dans son quartier.

1955 – À vingt ans, il est choisi parmi les étudiants du cours de théâtre pour faire deux tournées avec la Comédie française (Rabat, Casablanca, Meknes, Fès, Tanger, El Jadida). Il se lie d’amitié avec le couple Jean Davy et Odile Mallet. Quelques mois plus tard, André Elbaz est sollicité par la troupe Le Plateau pour mettre en scène “La Station Champ Baudet” d’Eugène Labiche ou il tient le rôle du valet. Il crée des affiches pour ce spectacle et, à l’initiative du directeur de son école, Georges Mathieu, il réalise ses premiers collages.

1956 – Dirige une imprimerie a El Jadida puis devient l’assistant d’un décorateur étalagiste.

1957-60 – Trois années de travail intense. Cherche a quel maître se rattacher. Aime Dufy, Matisse, Braque, de la Fresnay, Rouault, Picasso, Turner, mais sa propre peinture est celle d’un débutant plutôt classique. Son atelier se trouve dans le VIe arrondissement. Ses premières huiles sont des Clowns, des Cirques, des Ponts de Paris. André Elbaz fréquente la Grande Chaumière et dessine d’après nature.

1958-59 – André Elbaz habite rue Freycinet, non loin du Musée d’art moderne ou André Elbaz découvre la peinture contemporaine. André Elbaz s’inscrit à l’atelier Pierre-Eugène Clairin à l’Ecole des Beaux-Arts. André Elbaz termine sa série des Cirques avec La Mort du clown. Voyage au Havre pour dessiner et peindre plusieurs Compositions marines. Puis il entreprend une série dans laquelle il n’utilise que la couleur blanche. Expose au Salon des Super indépendants, au Salon de l’Ecole française, au Salon d’Hiver, à la galerie Tonalités, galerie Dauphine.

1960 – Premier voyage en Espagne Visite le Prado, découvre Le Gréco, Vélasquez, Franz Hals, La piéta de Van der weden, mais sa plus grande rencontre, au milieu de ces chefs d’œuvres, est avec Goya.

Février 1960 – Henry Michaels organise une première exposition privée de ses travaux. Le 29 Février, le tremblement d’Agadir est pour André Elbaz qui vit à Paris un grand bouleversement. Une série sur la ville détruite et les glissements de terrain l’occupent pendant plusieurs mois. C’est ainsi qu’il entre dans la peinture abstraite. Au cours d’un séjour a Conflans-Sainte-Honorine, André Elbaz pose son chevalet et peint l’avant de deux péniches sur la Seine. A son insu, il se relie a une nouvelle forme d’abstraction, l’abstraction lyrique, et poursuit cette série.
Rencontre, rue de Seine, les tableaux de Nicolas de Staël qui lui semblent se relier a la nouvelle direction qu’a pris son travail. Pour plusieurs années, de Staël devient son unique référant. Après les toiles sur le thème du tremblement de terre et de la destruction, André Elbaz recompose la Ville. C’est la série Les Murs de Paris qu’il expose au Salon de la Jeune Peinture française. Il présente des travaux au concours du Prix Mangin organisé par la Galerie de Paris que dirigent les héritiers du peintre impressionniste Henri Mangin. Il est classé second par la critique, mais premier par le directeur de la galerie qui lui propose un contrat.

1961 – Lors de la deuxième Biennale de Paris, alors qu’il est un des peintres qui représentent le Maroc, l’historien et critique d’art Gaston Diehl, attaché culturel français au Maroc, découvre ses toile et l’invite a faire une serie d’expositions dans les Instituts français a travers le Maroc. André Elbaz rentre a son pays natal.

1962-63 – Farid Belkahiya, qui vient d’être nommé directeur des Beaux-Arts à Casablanca, le sollicite pour enseigner la peinture.

ANDRÉ Elbaz des doukkala

Andre ElBaz – Portrait of King Mohamed V

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ANDRÉ Elbaz
Portrait de Mohammed V peint par André ElBaz – Photo prise a Mazagan – El Jadida, Célébration de la Fête du Trône par les Marocains Judaïques a Mazagan

L’ensemble de ces déphasages alliait aux changements brusques et extérieurs avait effectivement nourri la pensée de l’artiste nationaliste marocain qui dorénavant chercha une voie de sagesse et de retour aux sources de la décence et de l’identité culturelle marocaine.

Pour ne citer que les grandes lignes familières a l’auteur de ces lignes sur cette évolution de l’identité artistique du marocain; elle fut en premier traduite par André Elbaz et son ami Ahmed Cherkaoui sous l’angle de l’abstrait et de leurs efforts individuels d’y intégrer des éléments modernes comme support et comme moyen d’expression des déchirures sentimentales qu’ils avaient chacun dans son domaine propre endure dans leur existence.     ​

La création de André Elbaz ouvrait de nouvelles perspectives et formes lorsqu’il entreprit d’inclure dans ses œuvres les fibres végétales (lin, abaca, chanvre, sisal).  Cette même perspective fut aussi empruntée par Belkahiya voulait en faire des références plutôt locale avec l’utilisation de médiums, de ressources et même de projection des ustensiles traditionnels des cultures berbères de l’époque, en y introduisant le Henné, les tatouages tribaux et la peau de chèvre.

André Elbaz – Villes Orientales – Ma Ville El Jadida

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Mazagan – El Jadida sont la source première d’inspiration de André ElBaz: Peinture de droite c’est la Cité Portugaise – Fortaleza Mazagao qui sert de modèle pour cette oeuvre de André ElBaz

Andre Elbaz et Ahmed Cherkaoui (1934-1967)

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Ahmed cherkaoui et André Elbaz: Frères dans l’Art et Neveux dans la Marocanité Eternelle – Un de mes Neveux Andre ElBaz et un de mes Cousins ensemble

André Elbaz est aussi natif et résident de ma ville natale: Mazagan – El Jadida, et Ahmed Cherkaoui est natif de ma ville ancestrale, Boujad la Zaouia des Cherkaoui. Cette photo est l’expression de l’Art comme lien familial ensemble dans ces illustrations familiales de notre Maroc et de notre personnalité régionale marocaine sans aucune frontière.

Alea by Ahmed Cherkaoui – Ahmed Cherkaoui (1934-1967): Il est l’un des précurseurs de la peinture moderne marocaine et détenteur à titre posthume du record absolu de vente.


1964 – À Londres, André Elbaz entreprend une série de collages a partir de grandes photos de machine a écrire Olivetti.

1964-65 – La Zwemmer Gallery, “première galerie à exposer Picasso en Angleterre” lui ouvre ses cimaises. C’est une grande réussite. L’un de ses collectionneurs, S. Morgan, acquiert 31 œuvres. Pour ses 31 ans, les Winklman lui font rencontrer Harry Abrahams, le célèbre éditeur d’art new-yorkais, qui choisit pour sa collection 13 œuvres. L’été de cette même année, André Elbazl fait découvrir la Grande Grèce aux membres du Club Méditerranée. Sa rencontre a Corfou avec les Juifs grecs survivants des camps nazis sera décisive pour la suite de son travail ouvrant une nouvelle dimension a son œuvre celle du “Défi a la barbarie”

1966 – A la demande de Pierre Schaeffer, André Elbaz réalise pour le service de la recherche de l’ORTF, a partir de ses dessins et en s’appuyant sur un Oratorio de Schoenberg, un court métrage – la nuit n’est jamais complète – qu’il dédie a S.M. Mohamed V pour la protection dont a joui sa communauté au Maroc pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Le film sera primé à la cinquième Biennale de Paris et représentera la France au Festival du Court-métrage de Tours.

Noël 1967 – Invité par la télévision française avec des artistes a créer un jouet en présence d’enfant le jour de Noël, André Elbaz met au point une technique qui permet de peindre en grand format a partir de l’ombre portée de modèles. C’est à partir de cette séance qu’il élabore l’approche de thérapie par l’art, le pictodrame.

1969 – André Elbaz épouse Françoise. Tous deux partent en voyage de noces au Maroc puis vont s’installer a Montréal ou l’Office National du Film lui propose de réaliser des courts-métrages.

1971 – André Elbaz peint des architectures qui se décomposent, tourne un court métrage d’animation avec des œufs. Achève un portfolio de vingt sérigraphies intitulé SEULS. avec des textes de Mao, Latham et de Elie Wiesel. Entre dans la collection du Musée des Beaux-Arts de Montréal et dans les collections particulières de l’Université de Montréal et de York University, Ontario.

1973 – Retour a Paris. André Elbaz reprend son travail d’éducateur, enseigne le théâtre et le mime. Met au point le pictodrame. Fait partie des acquisitions de “The Israel Museum, Jérusalem. Entre dans la collection du chancelier Willy Brandt.

1973 – Une partie des sérigraphies du porte folio SEULS est exposée à la Bibliothèque Nationale (Paris) avec les nouvelles acquisitions.

1975 – André Elbaz se voit attribuer pour 99 ans (bail emphytéotique) un atelier à La Ruche, la fameuse cité d’artistes construite après l’Exposition au Centre Rachi. Il entreprend une série de dessins sur l’oppression, Le Silence impose, et sur Oedipe, roi de Sophocle.

1976-1988 – Pendant ces douze années, André Elbaz se consacre essentiellement à l’art thérapie.

1976 – Expose à l’Université CEST point F à Paris – Centre Edmond Fleg, Marseille. Galeries de l’Office du Tourisme, Aix-en-Provence.

1981 – Congrés National de la Psychopathologie de l’Expression au Centre hospitalier de l’Université de Lille. Sa Conférence – Pour que l’image émerge… Mise en jeu de l’induction et du transfert dans l’émergence de l’image… ” Parait dans Expression et Signe, numéro spécial de la revue Psychologie médicale.

1985 – Expose 35 encres au Musée Yad Vashem, Jérusalem. Entre dans la collection de ce musée.

1986 – Nouveau tournant décisif dans son oeuvre : invité a Strasbourg par son amie Sonia Gerber pour prendre part a un stage de fabrication de papier, André Elbaz découvre les possibilités qu’offre a sa création ce nouveau matériau. Lui qui ne voulait plus peindre à l’huile s’enchante des belles matières que lui permet la fibre végétale. André Elbaz se retire peu a peu de son travail de thérapeute pour reprendre son activité plastique avec ce nouveau medium.

1988 – Invité par le Neuro Psychiactric Research Institute, Seiwa Hospital, Tokyo, a parler du pictodrame, et par la Chukyo Women’s University, Nagoya, a présenter sa démarche avec le tir a l’arc.

1989 – Retourne au Japon. Expose ses travaux a base de fibres végétales a la galerie Nisch Azabu Asacloth. Le Musée Mari mura acquiert l’une l’elle.  André Elbaz expose ses Villes orientales chez des amis à Park Avenue, New York.

1990 – Dans le cadre de la Biennale du Film d’Art, le Centre George Pompidou présente une rétrospective des films d’André Elbaz. Parmi ces films – La nuit n’est jamais complète – – l’Homme a la bouteille – – Le Psychana l’oeuf – – Les Mobiles de Calder au Moma ou Faites le vent vous mêmes… Expose à Seibu Gallery, Tokyo.

1991 – Dans son nouvel atelier a Montréal, André Elbaz entreprend une série de dessins pour l’édition d’un portfolio destiné a commémorer le cinquième centenaire de l’Inquisition.

1992 – Réalise le portfolio – De feu et d’exil (textes de Francois-Marc Gagnon, Shmuel Trigano et Naim Kattan). A Narbonne, il poursuit sa création a partir de fibres végétales (lin, abaca, chanvre, sisal). André Elbaz expose a la Salla dei Congresii, Milan, Casa della Cultura, Livourne, Carlton Center, Ottawa, Bibliothèque de l’Université d’Ottawa, Jewish Library, Montréal. Françoise Elbaz soutient à Paris VII sa thèse de doctorat en Sciences de l’Education sur Les Processus de symbolisation, avec, pour principal terrain d’observation, l’approche du pictodrame.

1993 – Identité et Altérité, exposition a l’Unesco.

1994 – Retour en France. Retrouve son atelier de la Ruche et commence a classer son oeuvre (préparation d’un catalogue raisonne).

1995 – A Narbonne, André Elbaz entreprend, sur un papier de soie japonais de grande dimension, une série de fresques qui font suite a ses travaux de war artist. Ces papiers très fins seront maroufles par la suite sur de grandes toiles.

1996-99 – Séjourne entre Paris et Narbonne. Avec Françoise Elbaz, André Elbaz entreprend un livre sur le pictodrame, Les Choses cachées dans l’ombre. Ils écrivent également une monographie – La Jeune Fille et le Houppier sur les possibilités qu’offre le dessin pour redevenir sujet de son existence par-delà la maladie.

Novembre 1998 – Pour l’ensemble de son œuvre sur le silence impose, les oppressions, les guerres, les génocides, la Fondation J. Buchman lui attribue le Prix de la Mémoire.

1998-99 – Invité d’honneur du Musée d’Épinal, sur le thème du Défi a la Barbarie. Poursuit la série Vestes et Médailles, sur le thème de la Première Guerre Mondiale. Trois de ses oeuvre sont un hommage à la mémoire des soldats marocains morts à Verdun. Début des séries La Fin des typographies, Chemins et Robes, à partir de fibre végétale.

2000 – Cinq triptyques en guise de rétrospective au Memorial du CDJC, Paris. Commence alors a Narbonne l’une des périodes les plus fructueuses sur le plan de la création. André Elbaz abandonne progressivement la couleur que les gris et les noirs viennent remplacer. Revient vers une géométrisation des formes, après un passage par des travaux blancs sur blanc.

2001 – Projection a la Sorbonne de son film – La nuit n’est jamais complète – dans le cadre d’un festival consacré a Schoenberg.

2002 – Exposition a la Galerie Mabel Semmler, Paris. Ses grandes fresques accompagnent la présentation de l’ouvrage – Ces Lois inconnues, Pour une anthropologie du sens de la vie de l’historien d’art M.F.Gibson, qui réserve un chapitre de son livre aux toiles exposées. En juin, à la Maison de la Bibliophilie, le Mai des Montparnos 2002, exposition des peintres de la Ruche, Livres d’artistes, livres partages. Nouvelle période ou destruction et création se rejoignent. Nouveau tournant dans l’oeuvre. Confronte, avec le début du troisième millénaire, aux modes de destruction qui déstabilisent les continents, il éprouve plus vivement que jamais la nécessite de rendre compte de l’époque. Dans cette perspective, André Elbaz ressort ses dessins, les déchire, les découpe et poursuit la seriez intitulée L’Exécution de l’oeuvre, correspondant a plus de 621 dessins détruits.

2003 – Série sur les architectures anamorphosiques et des balises. Le Musée d’Histoire contemporaine (Musée des Deux Guerres Mondiales, Paris) acquiert deux grands Papiers en fibre végétale.

2004 – Participe a une émission de la Télévision marocaine sur l’oeuvre maintenant internationalement connue de Chaibia et à une Journée d’hommage à la grande artiste, dans leur ville commune d’El Jadida. Invité à Settat au Festival des Arts plastiques, ou André Elbaz rencontre les nouvelles générations des peintres marocains. Encouragé par le critique d’art, Aziz Daki, André Elbaz décide de revenir exposer au Maroc.

Mai 2004 – Conférence et présentation de courts métrages dans le cadre du colloque La Mémoire par le rebut au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, Paris. Présentation de la bande annonce du film en court de montage de Jeremy Cohen sur L’Exécution de l’œuvre.

Septembre 2004 – Conférence à Paris VII dans le cadre d’un colloque Clinique de la responsabilité, éthique et loi (Université européenne d’été) publiée sous le titre Impasses et issues, vers un travail de mise en sens par l’intermédiaire du dessin.

2005 – Invite à Naples par l’Université degli studi di Napoli Frederico H. au département de Filosofia A. Aliotta, sur le thème “Peut-on peindre les catastrophes et les guerres ?” Entreprend avec Françoise Elbaz l’écriture d’une pièce de théâtre, Oedipe ou les silences de Sophocle.
Poursuit sa série Anamorphoses. Expose en décembre avec son amie Martine Martine a la Galerie Nicolas Deman a Paris, ou André Elbaz présente un grand triptyque de fibres (Paysages) et une série de petits portraits (Visages).

2006 – Pour son soixante-dixième anniversaire, quatre Instituts Français du Maroc présentent une rétrospective des travaux d’André Elbaz réalisés depuis 1985. El Jadida, recevra les travaux a base de fibre végétales ; Casablanca présentera les Urnes et les Lacérations ; Rabat, les grandes toiles qui dénoncent les massacres et les guerres ; Fès, la série des Villes Orientales.

A SUIVRE ….


Une mémoire est plus riche et féconde par le partage et a travers la pensée pour les autres, pour les places et pour les moments qui sont a la fois les forces motrices, les routes de parcours et les destinations intermédiaires continuellement renouvelées pour la construction de l’identitaire culturel propre de cette même mémoire Doukkalaise que nous portons en nous d’une manière éternelle.


Photos: Collection Personnelle de Said El Mansour Cherkaoui, Emilio Ohayon et Darna – Dafina – Droits d’auteurs et propriété intellectuelle doit être reconnue pour toute publication sous toute formes.


Rétrospective sur notre Peintre André ElBaz

Said El Mansour Cherkaoui Cherkaoui Journal DOUKKALA DÉ-COLLAGE Mazagão Made in Mazagan El Jadida Doukkala Morocco – Maroc – Marruecos 18/1/2020 — in Mazagan, El Jadida, Morocco.


Mazagao Mazagan El-Jadida

August 9, 2023  ·  1972 Soirée chez Fouad Elyacoubi

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  • ActiveTop fanSaid El Mansour CherkaouiEmilio Mazagao Mazagan El-Jadida Mssak Kheir Wa Kidair Koulchi Labasse et Labass alike a Ouled Bladi AzizIl y avait Madame Yacoubi gérante et proprio du Café Bar Restaurant que l’on appelait “Chez Madame Yacoubi” en face de l’Hotel de Ville.Son Fils Mustapha Yacoubi était avec Mr. Alain – Allal – Goirin Prof de Math au College Ait Kaci et tous les deux étaient les Entraîneurs du Club de Judo de Mazagan a la Salle des Sports et que je rencontrais et on se croisait lors de mes entraînements dans d’autres disciplines sportives.Mr. et Madame Goirin furent les profs de ma sœur et de moi-même respectivement de Math et Français au College Ait KaciYacoubi Père était d’origine Algérienne mariée a une Française, Madame Yacoubi.
  • Est ce que Mustapha Yacoubi est la même personne que Michel Yacoubi que tu cites ici-haut?
  • Prends grand soin de toi, Amen
    • LikeReply20hAuthor Mazagao Mazagan El-JadidaSaid El Mansour Cherkaoui. Oud bladi. Cette photo, c’est la photo de notre André Elbaz, donc c’est à lui de la commenter. Moi je reçois et je poste. Lah i rdé lik ya oulidi. Quant à tes commentaires, elles sont toujours sublimes, un vrai connaisseur de notre Mazagan et des Mazaganais.Bon vendredi jamoua mobaraka pleine de santé, de joie et de bonheur.
      • LikeReply5h

    Reply to Said El Mansour Cherkaoui…
  • AuthorMazagao Mazagan El-Jadida André. Que sont mes amis devenus, que j’avais de si prêt tenus, et tant aimé…Au mur, un tableau de Michel Blum un très grand peintre ignoré du public
    • André Elbaz
    • Une soirée à jamais gravée en moi. Que de rires cette soirée… Que sont mes amis devenus, que j’avais tant aimé ….
    • Sbai MohamedAndré Elbaz J’en vois trois .Zine.Tazi Beriane et Mustapha Lyacoubi cousin de Fouad Lyacoubi. Que leur âme repose en paix.
      • Like
      • Reply
      • 1d
    • Emile OhayonSbai Mohamed Bonjour.🤝
  • Top fan David SabbahMichel Elyacoubi était notre voisinAvec sa moto HARLEY-DAVIDSON en admirer qu’elle belle époqueTenor

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