Océan de Rêves Noyés et Océan Ensemencé par des Orphelins

: ★:★:★:★:★ :★:Le Maroc:★: ★:★:★:★:★ :
★Consolide les Déficits des Comptes Extérieurs avec le Marché International grâce a ses multiples accords de Libre-Échange
★ Épouse le Marché International a travers une Liaison Libérale

- ★ Rejoint l’Individualisation des Pratiques Sociales
- ★ Renforce son Progrès Subcapitaliste par la Réception Généreuse offerte au Capital Étranger d’Assemblage
- ★ Intègre la Division International du Travail qui aboutit à la Globalisation de la Misère Morale et de la Dépravation Sociale
Développement Subcapitaliste dans l’Espace, dans le Temps et dans les Relations Économiques, Politiques, Culturelles et Sociales
Dans la Dérive des Vagues de l’Océan Profond du Temps, dans l’Étendue des Horizons du Désert et dans l’Espace du Partage du Bien, en Tout cela, le Maroc voyage dans l’Infini de l’Inconnu.
La Course contre la Montre du Développement Subcapitaliste:
Temps Modernes et Temps Passés au Maroc




Les deux articles que je reproduis pour vous ici-bas dont le premier fut publié sans mon accord par Monasso, ce journal en ligne ne m’avait même pas contacté pour me faire savoir qu’il publiait mon article, la direction de ce journal a eu meme le culot d’accoler ma photo dessus.
Mon analyse que le Maroc n’a pas encore acquis ce sens de l’intégrité et de la responsabilité qui sont parmi les fondements du respect des droits des citoyens et les piliers d’un développement authentique national basé sur les potentialités économiques, sociales, culturelles, scientifiques et politiques des Marocaines et des Marocains:
Les deux articles que je reproduis pour vous ici-bas dont le premier fut publié sans mon accord par Monasso, ce journal en ligne ne m’avait même pas contacté pour me faire savoir qu’il publiait mon article, la direction de ce journal a eu même le culot d’accoler ma photo dessus.
Prénom
En fait, par une telle exploitation et dédain des droits de l’auteur, le Journal Monasso confirme mon analyse que le Maroc n’a pas encore acquis ce sens de l’intégrité et de la responsabilité qui sont parmi les fondements du respect des droits des citoyens et les piliers d’un développement authentique national basé sur les potentialités économiques, sociales, culturelles, scientifiques et politiques des Marocaines et des Marocains:
Le second article sur la Régionalisation et l’Effassage de la Région des Doukkala de la Carte Administrative du Maroc article ci-dessous mentionné date de presque 6 ans déjà {November 15, 2014 at 1:07 PM} publié a Facebook et intitulé: Absence de Doukkala dans la Carte de la Régionalisation Administrative
Accueil / Actualités / Une Stratégie Économique Conjoncturelle ou un Développement Durable
Une Stratégie Économique Conjoncturelle ou un Développement Durable
Dans Actualités, Développement 06/09/2015 1,363 Vues
Le Nouveau Défi pour le Maroc: Une Stratégie Économique Conjoncturelle ou un Développement Durable
Synopsis: Au lendemain de la conclusion et de la publication des résultats des élections communales tenues au Maroc, une interpellation et une révision des choix de politiques régionales de développement pourraient s’avérer utile sinon nécessaire pour traduire les promesses électorales en action développementale. En effet, parmi les considérations stratégiques de tout programme politique demeure le développement de toute la nation marocaine et cela sans aucune référence ou appartenance partisane ou idéologique.
Les élections tenues actuellement au Maroc sont aussi une interpellation et une révision des choix de politiques. Parmi les considérations stratégiques de tout programme politique demeure le développement de toute la nation marocaine sans aucune référencé d’appartenance partisane ou idéologique. Dans cette optique, cet article en est une des expressions.
Qu’est-ce que le développement durable?
Le développement durable consiste à améliorer la qualité de vie en protégeant la santé des citoyens, la préservation de l’environnement, a travers la poursuite et la consolidation de l’efficacité dans l’utilisation des ressources humaines, naturelles, économiques et financière afin d’établir des bases solides pour la croissance de la compétitivité économique au delà des considérations et des échéances électorales. Cette stratégie de développement durable est composée et motivée par l’intégration de priorités environnementales, économiques et sociales dans les politiques et les programmes de portée tant régionale que nationale. Une telle cohésion stratégique nécessite une action concertée et complémentaire de la part des citoyens, de l’industrie et des autorités publiques et cela a tous les niveaux de la décision locale, régionale et nationale.
En somme, le développement durable, c’est trouver des moyens pour s’acquitter du mandat d’élu de manière à ce que les résultats désirés soient des actions et des acquis pour une longue durée dans l’exploitation comme dans l’extraction de nouvelles formes d’expansion et de réinvention des méthodes et des aspects comme des effets du développement durable. C’est effectivement dans cette reproduction continuelle des conditions du développement a travers une croissance des secteurs considérés que le Développement est appelé et se distingue de toute autre stratégie développementale par son caractère Durable. En effet, la durabilité de ce genre de développement est une reconnaissance de l’importance des décisions d’aujourd’hui pour les générations de demain. 1
En termes plus laborieux, on sème aujourd’hui non pas seulement pour récolter sa propre semence mais pour préparer le transfert et le savoir-faire ainsi que le produit de la récolte pour ceux qui viendront prendre la relève lors des lendemains successifs du jour du commencement de ces récoltes.
La Création Régionale d’Emploi Légitime le Développement National:
Le Maroc doit consolider ses bases régionales en tant qu’économie nationale gérée par des moteurs de croissance régionale complémentaire dans leur constitutions et ouvert vers l’innovation dans la création d’emploi. Cette donnée est la seule mesure du succès de toute stratégie entrepreneuriale.
L’amélioration des conditions de travail correspondante et la reconnaissance des droits du travail sont également des facteurs structurels et constitutifs. Une politique tournée vers la gestion du travail est a préconiser a travers non seulement l’encouragement des investissements dans l’amélioration des conditions de production mais aussi dans la modernisation technologique de l’appareil productif sur le plan de l’innovation et l’introduction de nouvelles techniques de production et de méthodes de gestion correspondante, y compris la formation et l’éducation des travailleurs.
Cette harmonisation moderniste de l’outil de travail avec le reconnaissance des droits des travailleurs stimule l’acquisition d’un nouveau savoir, l’offre et l’application de nouvelles formations techniques et l’introduction de nouvelles formes de production. De même, la diversification des secteurs industriels tant sur le plan géographique que sectorielle renforce la continuité opérationnelle a travers l’innovation et l’attraction de productions innovatrices. Ces percées pourraient de leur côté faciliter le transfert de nouvelles dimensions technologiques et le savoir-faire correspondant.
Dans cette voie, le tissu industriel du Maroc pourrait devenir le moteur de la croissance économique nationale et l’exemple d’un réel take-off pour le reste de l’Afrique Subsaharienne concernant l’industrialisation d’ordre technologique de pointe. Cette modernisation continuelle des formes opérationnelles et des unités productives doit favoriser la formation d’une main-d’œuvre hautement qualifiée et d’un personnel créatif. Dans un tel environnement, le savoir technologique et l’éducation de la force de travail imposent si ce n’est encouragent l’adaptation de curriculum et de programmes d’études et une formation technique de pointe.
L’insertion des métiers technologiques doit se dérouler en tant qu’élément principal dans la détermination régionale concernant les choix stratégiques des créneaux opérationnels et porteurs. Leur sélection respective a la fois dissociée dans la détermination structurelle et complémentaire pour les objectifs stratégiques, est basée sur leur propre réponse active et potentielle, leur niveau de flexibilité et de rapidité de réalignement sur la dualité existante entre la demande régionale et nationale et celle d’ordre concurrentielle provenant du marché international.
Le Maroc doit cesser de se faire valoir auprès des investisseurs étrangers comme étant un réservoir abondant de main-d’oeuvre a bon marché et aussi comme un environnement législatif ou les coûts salariaux sont moindres et très bas. Une telle stigmatisation est un aveu involontaire sur la fragilité des droits des travailleurs et un désaveu des progrès démocratiques réalisés au Maroc. Les ressources humaines peuvent être présentées non pas seulement en tant qu’une main-d’oeuvre laborieuse mais aussi en tant que force de travail hautement qualifiée, éduquée, adaptative et ingénieuse.
L’Infrastructure et le Développement Durable:

L’infrastructure doit être une partie intégrante modulée sur les besoins mêmes de complémentarité et de diversification régionale tout en servant l’intégration territoriale, économique et financière. En somme, la réelle infrastructure est celle qui construit les bases sociales d’amélioration des conditions de vie des plus démunies et des couches les plus défavorisées. Cette concentration sur les besoins réels de telles couches sociales procure le stimulant social de base et adéquat pour la propagation du développement sociétal dans toutes ses manifestations économiques et financières ainsi que éducationnelles.
On ne peut construire une infrastructure dans un espace démuni de support social et n’ayant pas une valeur économique et financière qui pourrait contribuer a son propre maintien et a son amélioration.
On ne peut non plus promouvoir un progrès économique en se basant sur la seule modification ou amélioration de l’infrastructure, mettant seulement en avant sa juste utilisation bénéfique et les avantages économiques et financiers fournis a des secteurs prédéterminés et dont la portée en définitive reste limitée dans l’espace social.
D’autre part, l’infrastructure n’est qu’un maillon dans la mise en place d’une chaîne de liaison réciproque doublée d’une courroie de transmission stimulatrice des autres pôles régionaux de croissance. Dans cette optique, l’infrastructure tend a faciliter la réalisation d’une complémentarité opérationnelle et productive tout en permettant la coordination de leurs inputs dans l’approvisionnement de l’économie nationale. Dans cette perspective, les données de la logistique doivent être développés en parallèle a la modification et a la modernisation de l’infrastructure. Dans ce cas précis, la logistique devient le dénominateur commun et le cerveau dans la distribution et l’organisation des vecteurs de cette infrastructure.
C’est effectivement par un tel processus logistique d’intégration et d’identification des multiples aspects de l’infrastructure que la finalité de toutes les initiatives entrepreneuriales deviennent effectivement centrées sur la création des emplois.
La croissance et le développement de l’emploi dans les régions intérieures, les régions perdues dans la cartographie utile, les enclaves portuaires et des façades maritimes dépendent en premier de l’imbrication des pouvoirs publics locaux et régionaux avec les décisions gouvernementales à l’échelon national.
Dans cette voie de réciprocité et dans cette direction d’accompagnement, l’infrastructure, la logistique et la gestion correspondante de la Supply-Chain deviennent a la fois les vecteurs et les ressources pour une intégration nationale des activités économiques régionales. Pour cela, toute inclusion des efforts régionaux et nationaux doivent se vêtir et cibler le renforcement d’un Patriotisme Économique et réduire l’impact des organismes internationaux et l’impact des investissement étrangers directs et indirects dans la direction des décisions et des affaires des pouvoirs publiques.
Développement National, le Capital Étranger et l’Insertion dans le Marché International:

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Pour évaluer l’impact des capitaux étrangers dans le devenir d’un pays, la France nous sert ici d’exemple vu son importance historique dans l’appropriation des investissements réalisés au Maroc et vu qu’elle est en même temps un espace ouvert aux investisseurs étrangers. Cette ouverture de la France aux flux des capitaux étrangers s’était accrue a la suite de la reconstruction de l’Europe par le Plan Marshall et durant les premières hésitations de l’intégration du marché commun. Cette double évolution dépendante avait favorisé la création d’un «fossé technologique» entre les Etats Unis et l’Europe a travers de la Multinationalisation et l’internationalisation de la production, la distribution et la conceptualisation des produits manufacturés et de consommation courante.
Au lendemain de la mise en place du modèle d’industrialisation de masse promu par les états-Unis en Europe et au Japon au niveau de la productivité industrielle, les investissements étrangers directs d’origine des Etats-Unis imposèrent une nouvelle dimension a la division internationale du travail et a la localisation géographique des productions ayant plus de valeur ajoutée. Jean-Jacques Servan-Schreiber en fit déjà son cheval de bataille dans son fameux ouvrage «Le Défi Américain», paru en 1967, et qui reste même aujourd’hui le plus gros succès de librairie pour un essai politique.
Malgré ce cri d’alarme de JJSS, certains continuèrent de clamer haut que « La France a amplement bénéficié de ces atouts (entrepreneurial, niveau de productivité, haut niveau technologique) en attirant des investisseurs étrangers. Elle a pu ainsi compenser le manque d’investissement au sein de son propre marché. Cela explique pourquoi les étrangers détiennent presque 50% du capital des entreprises qui composent le CAC 40. Les investissements étrangers constituent donc un soutien important à l’économie française.» 2
En réalité, la France dans son élan mondialiste n’a fait qu’aggraver le niveau de sa dette publique, la dégradation de son équilibre commercial et l’accentuation de son taux de chômage.
Par contre, en Chine et aux Etats-Unis, la stratégie poursuivie traduisit une volonté et une politique manifeste favorable a l’émergence de champions nationaux dans les secteurs d’avenir. Le gouvernement chinois, dans son but affirmé de créer des champions nationaux, susceptibles de concurrencer les multinationales étrangères, accorda des aides aux groupes leaders, notamment en prenant des mesures pour faciliter les prises de contrôle d’entreprises étrangères par les sociétés chinoises.
Alors qu’au sein de l’Union européenne, chaque pays favorisa la constitution de grands conglomérats financiers, associant activités bancaires et assurance pouvant a l’époque rivaliser avec ceux des Etats-Unis et du Japon. Ces champions nationaux ont reçu, pour mission implicite de leur gouvernement respectif, de maintenir des centres de décision considérés comme stratégiques en matière financière sur le territoire national. Fondamentalement, la constitution de champions nationaux est en rupture avec la politique de concurrence de la Commission Européenne qui vise au contraire à réduire les aides publiques aux entreprises, considérées comme des subsidies.
Dans cet environnement, «Le patriotisme économique est généralement perçu comme une invitation faite aux acteurs économiques tels que l’État, les consommateurs ou les entreprises, à favoriser les activités nationales. […..]. Trois grandes stratégies confirment le souci des États de maintenir des relations durables de confiance avec leurs entreprises nationales. 3
Aux Etats-Unis, l’instauration d’un Small Business Act permettant de garantir plus de commandes publiques aux Petites et Moyennes Entreprise et d’accélérer la recherche-développement et l’innovation dans ce type d’entreprises. En effet, le Small Business Act réserve un pourcentage significatif des marchés publics, civils et militaires aux PME américaines. La concurrence mondiale s’était aussi globalisée avec l’émergence des nouveaux blocs économiques et d’économies émergentes et par la mise en place d’union douanière doublée de signature de traités de libre-échange qui obligea les Etats des pays avancés d’imposer directement et indirectement le maintien sur le sol national des centres de décision majeurs et la maîtrise d’activités et d’entreprises sensibles, indispensables à la préservation de la capacité de décision de l’État. Dans certains cas et pour ne point renier leurs engagements commerciaux du libre-échange, des barrières administratives furent ébauchées au niveau des douanes nationales par des Etats afin de retarder l’importation des produits manufacturés considérés comme concurrentiels a leurs industries naissantes.
L’intérêt national prima sur les conceptions libérales et d’ouverture économique. Ce qui apparaît décisif aujourd’hui pour un État, c’est d’attirer, dans le pays, des centres de décision économiques et de conserver ceux qui y sont implantés de longue date. Cet objectif s’avère essentiel pour l’indépendance et la sécurité nationale mais également pour le développement de l’emploi et des industries adjacentes. Les activités de recherche et de développement se situent souvent dans le même lieu que le siège de l’entreprise.
Le Développement Durable au Maroc a la Méthode Brésilienne:
L’Afrique toute entière est actuellement dans une phase critique pour élaborer et mettre en place des stratégies de développement durable basées sur des vecteurs et des pôles tournés vers le renforcement d’un patriotisme économique, une nationalisation financière et une solidarité sociale nationale et périphériquement régionale et limitrophe. Le Maroc demeure le phare dans cette transition vu sa proximité géographique de l’Europe et la diversité de ses régions ainsi que leurs disparités affligeantes.
Pour cela, la régionalisation ne doit pas devenir le moyen d’accentuer les déséquilibres, mais un moyen de mise en valeur des ressources locales et régionales en réponse aux besoins nationaux d’un développement durable et nationalement sustainable.
Une décentralisation adéquate doit en effet mettre fin aux enclaves économiques et même culturelles héritées des besoins d’antan de la conquête de l’espace et un conséquent contrôle social. Une telle régionalisation d’ordre colonialiste avait accentue l’existence entre deux Maroc l’utile et le Rebelle Inutile ce qui avait favorisé l’émergence d’enclaves économiques disparates et inégale mais soudées par leur niveau de contribution dans l’exportation des biens de consommation courante et des produits agricoles et miniers. L’industrialisation n’était point ancrée dans les exportations ni dans une stratégie de développement d’ordre national, elle devenait même une victime de la politique de substitution aux importations prônée au Maroc par la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International. Par ce biais, on chercha a imiter le Modèle Brésilien du milieu des années cinquante sous la présidence de Juscelino Kubitschek .
Pour répondre à cet enjeu, les autorités brésiliennes ont pris deux décisions qui allaient modifier le cours de l’histoire du pays et avoir des conséquences imprévisibles à l’époque. La première fut d’accélérer l’industrialisation de l’économie nationale par le biais d’une politique de substitution aux importations dirigée par l’état. La seconde fut de promouvoir de manière volontaire la colonisation de l’immensité occidentale du territoire national. La relance de la Fabrique nationale de moteurs (FNM), l’Institut technologique de l’aéronautique (ITA) et le Centre de technologie aéronautique (CTA), Petrobras, l’inauguration de Brasília et les « 50 ans en 5 » de l’épopée juscelinienne sont devenus les symboles majeurs de ces temps nouveaux 4
Face a de telles imitations, la structure nationale marocaine doit négocier, en tant qu’entité nationale avec ses propres besoins régionaux. Le Maroc devrait intervenir sur le marché international en mettant en avant ses propres conditions et les facilités de son insertion dans l’économie internationale et la nouvelle division technologique internationale du travail et de la consommation adjacente.
Cette nouvelle stratégie nationale doit ne pas se concentrer sur les seules décisions purement économiques et relever ainsi des instances correspondantes, elle doit surtout englober en son sein tous le ministères concernés tel que les affaires diplomatiques, financières, économiques, culturelles et sociales au Maroc. Cette commission multilatérale doit être investie d’une légitimité de mener des négociations et d’imprimer un rythme de réalisations a chacune de ses constituantes selon son domaine d’application avec une approche complémentaire et cohérente avec le reste des autres représentations ministérielles constitutives.
Pour tenter de renforcer le poids du Brésil dans les négociations internationales, le ministère des Relations extérieures décida de prendre ses distances avec la priorité traditionnellement accordée au dialogue avec l’Europe et les états-Unis, et de privilégier les relations avec les grands partenaires du monde en développement. L’objectif était d’apparaître comme un médiateur indispensable entre le Nord et le Sud en devenant un porte-parole audible des pays émergents et en développement. ….[A travers la poursuite d’une telle politique internationale. le Brésil avait réussi a s’affirmer tel qu’] axe central en Amérique du Sud et acteur « global » en tant que médiateur Nord-Sud: il ne s’agit plus simplement de chercher l’autonomie par la participation mais de prendre part aux décisions. 5
Le Maroc devrait étudier de prés l’expérience brésilienne comme celle de la Chine et corriger certains de leurs excès et adapter certains de leurs acquis pour en faire une donnée essentiel de sa stratégie de développement national. Dans cette vision, la mise en valeur des ressources, tant naturelles, humaines que financières si ce n’est renouvelables doit être et stimulée par une croissance économique que les autorités locales, régionales, de tutelle et l’état Central doivent en être les garants et les pourvoyeurs a travers leur engagement solidaire et constitutif.
Cette contribution directe est complémentaire en essence et basée sur une distribution équitable et proportionnelle tant au niveau de la participation et l’apport mais aussi sur le plan des retombées et des récompenses y compris l’installation locale des vecteurs et des créneaux porteurs. Cette croissance économique demeure d’ordre nationale mais en fait elle est d’origine régionale.
La réalisation de cette croissance économique doit favoriser en premier le renouvellements des structures nécessaires a sa traduction sociale et politique, la formation des cadres et la qualification technologique de la main d’œuvre, l’attrait et la réalisation des investissements d’infrastructure et la légalité des opérations adjacentes et conséquentes.
L’Etat Central doit se réinvestir d’un rôle primordial dans l’instauration d’une discipline fiscale, légale et constitutionnelle afin de réglementer et de régler la création et l’insertion ainsi que le contrôle d’un ordre effectif et discipliné entre les objectifs, les ressources et les priorités au niveau des dépenses budgétaires.
Ce rôle de l’Etat doit aussi favoriser l’émancipation les réelles potentialités des régions afin de les dégager de leur assujettissement au rôle folklorique en tant qu’industrie conjoncturelle et séduisante pour les seuls besoins d’attirer les devises. Les devises doivent provenir de l’insertion directe de la région dans le tissu national industriel et de leur participation directe dans le développement de leurs propres canaux de distribution et de communication avec la demande internationale par l’établissement de pacte bilatéraux avec des régions des autres pays, en tout premier les pays limitrophes.
Dr. Said EL Mansour Cherkaoui
Contact information: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com
Sélective source bibliographique:
1) Stratégie de développement durable 2014-2017.
2) Ezra Suleiman: Les limites du patriotisme économique, Le Figaro, 15/10/2007.
3) Marie-Françoise Delaite et Jacques Poirot: Patriotisme économique et développement durable, Economic patriotism and sustainable development.
4) Alfredo da Gama e Abreu Valladào: 30 avril 2010, Bresil: le Defi de l’interdependance responsable Notes de Conventions, https://convention-s.fr/notes/bresil-le-defi-de-linterdependance-responsable/
5) Alfredo da Gama e Abreu Valladào: 30 avril 2010, Bresil: le Defi de l’interdependance responsable Notes de Conventions, https://convention-s.fr/notes/bresil-le-defi-de-linterdependance-responsable/
– https://www.cbsa-asfc.gc.ca/agency-agence/reports-rapports/sds-sdd/sds-sdd-14-17-fra.html
– https://www.sante-environnement-travail.fr/actualite.php3?id_article=5144
L’État de l’Infrastructure au Maroc
:★: Absence de Doukkala dans la Carte de la Régionalisation Administrative :★:
: ★:★:★:★:★ :★:Absence de Doukkala dans la Régionalisation:★: ★:★:★:★:★ :

Sidi Bennour. Doukkala — Maroc:
Le labourage Dualiste – La juxtaposition de la Régionalisation et la Globalisation:
Le Socle Traditionnel, le Tracteur Importé, La Vache Hollandaise Importée et les Couvertures suspendues Importées de la Corée du Sud et de la Chine.
Mise à jour le 21/4/2020 Said El Mansour Cherkaoui
Le Nouveau Maroc Déséquilibré:
Absence de Doukkala dans la Régionalisation, Libéralisme et Globalisation
Sidi Bennour. Doukkala — Maroc:
Labourage Trialiste: Absence de Doukkala dans la Régionalisation, Libéralisme Tronqué et la Globalisation Truquée:
Le Socle Traditionnel, le Tracteur Importé, La Vache Hollandaise Importée et les Couvertures suspendues Importées de la Corée du Sud et de la Chine.Le présent article représente le deuxième volet de notre analyse sur l’évolution économique du Maroc. J’essaye de mettre en relief la nécessité d’adopter des réformes économiques structurelles.
Dans le présent bref essai, le but reste d’ajouter et d’apporter des clarifications surtout à la lumière des récents discours et interventions des pouvoirs publics sur la question de la régionalisation.
Veuillez consulter mon article précèdent pour mieux situer l’évolution de mon analyse pour mieux situer la présente dans son propre contexte qui est celui de promouvoir et de stimuler la réflexion sur ce qui nous tient tous à cœur en tant que marocains et marocaines, c’est de voir notre pays consolider ses atouts en tant qu’une économie nationale libérée de la dépendance subcapitaliste.
Je suis conscient que des réalisations ont été accomplies mais le chemin reste long à parcourir afin ue le Maroc devienne un pays émergeant jouissant d’une assise économique nationale.
Le Paradoxe de l’équilibre régional par le maintien d’une faiblesse structurelle
Au Maroc, la politique économique demeure localisée si ce n’est figée entre deux pôles d’attraction,une mondialisation selon les termes et les conditions contractuelles issus de la juxtaposition du libéralisme et de la globalisation et la volonté récemment affichée des pouvoirs publics de redorer le blason de la régionalisation.
Ces deux axes se basent sur un dénominateur commun dont l’ultime et non-déclaré objectif pour chacune d’entre elles demeure effectivement la poursuite et la réalisation d’une croissance économique soutenue qui est d’origine et d’extraction extravertie.
Pour renverser cette trajectoire, le Maroc doit implémenter un processus correctif qui serait basée sur la participation et le renforcement des alliances au sein des collectivités régionales et des entités économiques participatives afin d’assurer une représentation cohésive de leur intérêts respectifs dans la planification du développement du Maroc. Cette approche consultative et participative devrait permettre au Maroc d’acquérir et de renouveler des capacités de négociation face aux tenants du marché international, permettant ainsi une indépendance et une consolidation régionalisée de la décision économique au Maroc de répondre directement aux besoins nationaux en premier et de mettre en place des structures favorable au renforcement del’efficacité du processus décisionnel de l’Etat Marocain et au renforcement des acquis démocratiques.
De ce fait, les politiques et programmes publics devraient être formulées et implémentées sur les pratiques participatives qui ne peuvent que servir d’orientation et de coordination de l’action collective facilitant une plus grande participation et une cohésion des alliances entre les collectivités et les acteurs. Cette forme de planification demeure un outil de représentation et d’ajustement des intérêts respectifs de tous les participants à la planification du développement économique en premier régional et par la suite national.
La négociation entre les différents acteurs régionaux et nationaux devint une des déterminations de la définition et l’implémentation des actions nécessaires à la réussite d’une planification du développement. Par rapport à tout cela,comment donc au Maroc, on peut instaurer une politique visant et nécessitant l’application d’une responsabilité d’équité sociale en matière d’allocation des ressources alors que l’on reste dans une situation d’attente du marché international pour stimuler la croissance économique nationale.
Les Questions sur l’Antagonisme des Choix Stratégiques pour le Développement Economique du Maroc
Dans le Maroc actuel existe un paradoxal environnement ou les équilibres externes, y compris les comptes courants sont continuellement maintenus dans une position de faiblesse et de dépendance a l’égard des aléas de la conjoncture internationale, je me pose et je vous pose ces questions :
Comment le Gouvernement Marocain actuel issu des partis politiques, ayant un mandat limité dans le temps comme dans la représentation parlementaire, peut entreprendre une stratégie de la régionalisation et cela sans planification rationaliste et participative.
Face à ces handicaps structurels et stratégiques, comment donc peut-on promouvoir une politique économique de développement ou même de croissance qui cherche à susciter un développement à l’intérieur du pays basé sur une modernisation et une mise en valeur des pôles de développement régional?
En d’autres termes, comment la planification du développement économique du Maroc serait réalisable alors qu’en même temps, un authentique développement régional est seulement légitimé par la réussite d’une atténuation de l’extraversion qui résulte de l’intégration libérale de toute économie dans le marché international.
Une telle approche ne peut que transformer toute politique de régionalisation en vecteur et en cluster favorisant une plus grande interdépendance économique régionale dans le cadre de la globalisation et cela à travers les échanges commerciaux et les investissements directs étrangers.
A vos claviers pour répondre si vous estimez que le Maroc mérite un meilleur sort et une autre alternative au niveau de la politique économique que celle poursuivie par les partis politiques siégeant au gouvernement.
Dr. Said El Mansour Cherkaoui
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