IL Y A EU LE PRINTEMPS ARABE ET MAINTENANT ON A L’ÉTÉ INDIEN AFRICAIN
IL Y A EU LE PRINTEMPS ARABE ET MAINTENANT ON A L’ÉTÉ INDIEN AFRICAIN
Les Maisons Présidentielles de l’Afrique deviennent des Châteaux de Carte et se transforment en Maisons d’Arrêt et d’Emprisonnement pour leurs propres bâtisseurs, tout s’écroule autour
What Goes Around Comes Around
Retour de la Manivelle – Retour du Boomerang Africain

Destin Transafricain, Tunisie, Transe, Transition et Totalitarisme
Posted and Written by Said El Mansour Cherkaoui – Said Cherkaoui
https://fr.moroccodigitall.com/2023/08/30/tunisie/
Ce morcellement fut accompagné par une sélection de certains anciens collaborateurs militaires et administrateurs de la période coloniale et furent désignés comme les nouveaux dirigeants africains en leur facilitant de prendre en main le contrôle des rouages de la décision nationale avec comme mission l’institutionnalisation de régimes amis et défenseurs des intérêts et de ces colonisateurs pouvant ainsi maintenir la main basse sur les ressources des pays subsahariens africains devenus “politiquement indépendants” sans pour autant s’approprier leurs propres ressources naturelles et minières en premier.

De ce fait, le but était d’instaurer un régime dictatorial, mono-partisan et prônant le maintien des troupes françaises sur le sol national en dépit de cette reconnaissance d’indépendance qui sur le terrain elle demeura qu’une seule façade protocolaire miroitant un accord signé dans les coulisses parisiennes et les couloirs des chancelleries de la République Française loin des besoins quotidiens des masses populaires africaines.
En contrepartie, la France devint ainsi le coffre-fort des richesses accumulées par les progénitures de ces présidents sélectionnés a Paris et placées a la tête des Etats Africains maintenus dans une relation subcapitaliste avec les réels tenants du pouvoir dans la métropole.
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BINGO BONGO RIEN NE VA PLUS AU GABON ET EN AFRIQUE
FINI LE DOUBLE JEU DES ÉLITES CIVILES A DOUBLE FACE
At Last, Libreville est Libre des Bongo Magouille

Le Gabon, un pays aux immenses richesses naturelles toujours dépendant de son pétrole
WHO IS NEXT ? FRANGIN
COMBIEN DE COMBINES ET DE CANDIDATS RESTENT EN AFRIQUE POUR UN COUP D’ÉCLAT MILITAIRE
AFRICA LOCO – LOCOMOTIVE A LE VENT EN POUPE ET LA CHAUDIÈRE FUMANTE
CHAUDEVANT – VENT CHAUDERRIÈRE
AU SUIVANT
CLUB MED MILITAIRE EN AFRIQUE: PRÉSENCE DES BASES ÉTRANGÈRES
Les verrous de la sécurité sécuritaire éclatent un après l’autre, remettant en cause les raisons avancées pour la présence militaire étrangère en Afrique vu que cette militarisation envahissante ne peut même pas prévoir ou anticiper un soulèvement des militaires contre les pouvoirs qui ont favorisé cette localisation de forces armées occidentales dans lesquelles ils identifièrent leur propre survie politique et dirigeante.
Les Militaires Gabonnais viennent juste d’un seul jet de javelo ont saboter l’initiative du President Français et ses supports dans la Cedeao , d’une pierre deux coups, et d’un lancement de poids deux mesures. Le projet Franco-Ivorien / Nigerian contre le Niger vient de subir un revers atomique , vient-il de saborder le projet d’intervention militaire au Niger d’Emmanuel Macron?
Discours du Président de la France: Mr. Emmanuel Macron à été bien reçu par les militaires africains
“Ce que nous avons commencé à faire, en particulier dans les théâtres d’opérations africains, est, à cet égard, totalement inédit, avec en particulier la Task Force Takuba, et préfigure ce que nous voulons faire. ” […]
Enfin, parler de stabilité de sécurité et de lutte contre le terrorisme me conduit évidemment à évoquer l’Afrique. Nous n’avons pas en Afrique qu’une approche sécuritaire ; je veux ici être très clair et j’y reviendrai dans un instant. Nous avons de fait une implication sécuritaire parce qu’il y avait des risques terroristes – et qu’il y en a toujours – et parce qu’il y a une demande de la part d’états souverains pour que nous venions les aider.
C’est dans ce cadre qu’ont été décidées d’abord l’opération Serval puis l’opération Barkhane. Je le dis avec beaucoup de force parce que si on l’oublie aujourd’hui, si on cède aux arguments inadmissibles de cette alliance baroque des prétendus panafricains avec les néo-impérialistes, on vit chez les fous. La France est intervenue dès 2013 parce que des États nous ont demandé d’intervenir, parce qu’ils étaient en train d’être simplement coupés en deux.
Si la France n’était pas intervenue, si nos militaires n’étaient pas tombés au champ d’honneur en Afrique, si Serval puis Barkhane n’avaient pas été décidées, nous ne parlerions pas aujourd’hui ni de Mali, ni de Burkina Faso, ni de Niger. Ces États n’existeraient plus aujourd’hui dans leurs limites territoriales.
Je peux vous le dire avec certitude. Et donc quand j’entends parfois même des responsables politiques français nous expliquer que Barkhane serait une défaite, je le dis, ne prenez pas les arguments de l’ennemi ; parce qu’à ce moment-là, vous desservez tout le monde. Vous rendez un drôle d’hommage à nos militaires. Il faut avec beaucoup de force défendre le bien-fondé de ces opérations : nous sommes allés aider des pays amis et partenaires à défendre leur sol et à lutter contre le terrorisme chez eux.
C’est un reproche qu’il faut nous faire ?
C’est mal d’avoir fait ça ?
De grâce, non. Et donc, nous devons être exigeants, repenser des partenariats nouveaux et ne céder à aucune forme de paternalisme contemporain. Enfin, il ne faut pas commencer à tout inverser et à considérer que, maintenant, on ne pourrait plus aller aider un État qui veut défendre l’ordre chez lui, sur une base légale – et c’est le cadre dans lequel nous sommes intervenus dans la région : demande souveraine, demande de la CEDEAO.” Discours du Président de la France: Mr. Emmanuel Macron.
L’autre plausible explication, c’est que ces militaires étrangers ne sont pas la pour protéger qui-que ce soit, si ce n’est les intérêts des compagnies de leurs propres pays et les intérêts géo-stratégique correspondants et donc ils deviennent borgne en ce qui concerne les mouvements rebelles des factions armées qui participent avec eux dans toutes les manœuvres de prévention et de défense, sauf celles relatives a la sauvegarde du régime en place.
EST CE QUE LES MILITAIRES AFRICAINS ONT DÉPOSÉ LES ARMES DU CHANGEMENT DANS UNE BOITE DE SUGGESTIONS POUR PROPOSER DES CANDIDATURES DE PAYS OU ILS RENVERSENT LA VAPEUR DU POUVOIR ET CHANGER LA DIRECTION LIBÉRALE DÉMODÉE DU TRAIN POLITICIEN !
QUELLE STATION A BESOIN DE SE FAIRE SAUTER DE LA TRAJECTOIRE ET DE LA VOIE NÉO-COLONIALE?
LA CHAUDRONNIÈRE AFRICANA EN EFFERVESCENCE ET LE ROULEAU COMPRESSEUR AFRICAIN REMONTE LA PENTE DE LA TROMPERIE ÉLECTORALISTE POUR APLANIR LE TERRAIN POPULAIRE DE LA REPRÉSENTATION DIRECTE
BON VOYAGE BON DÉBARRAS BONGO
ALI BONGO DÉCLARE QU’IL A ÉTÉ ARRÊTÉ PAR LE PEUPLE
ET HASTA LA VISTA L’HÉRITAGE DYNASTIQUE ET ÉLITISTE.
Ali Fils de Baba Bongo et les 40 Militaires Gabonais – Fils du Peuple qui font la fête aux Militaires Libérateurs a Libreville

CHRONOLOGIE: Bongo père et fils, une dynastie au pouvoir au Gabon depuis plus de 55 ans
Fin de dynastie au Gabon ? Des militaires ont annoncé, mercredi 30 août, mettre “fin au régime en place” dans le pays, alors que les résultats officiels de la présidentielle de samedi venaient tout juste de consacrer la victoire du président Ali Bongo, au pouvoir depuis 14 ans et qui avait succédé à son père, Omar Bongo, lui-même resté à la tête du pays pendant 41 ans.
L’opposition a régulièrement dénoncé la perpétuation d’une “dynastie Bongo” de plus de 55 ans à ce jour.
À lire aussi🔴• Omar Bongo, le patriarche, au pouvoir de 1967 à 2009
Le 17 août 1960, l’indépendance du Gabon, ancienne colonie française, est proclamée.
En février 1961, Léon Mba devient président. Trois ans plus tard, il est déposé lors d’un coup d’État, puis réinstallé grâce à une intervention de l’armée française.
Le 12 novembre 1966, Albert-Bernard Bongo – qui deviendra plus tard Omar Bongo –, figure montante de la politique gabonaise, devient vice-président de Léon Mba.
Un an plus tard, en décembre 1967, à la mort de Léon Mba, Albert-Bernard Bongo accède au pouvoir. Il impose le Parti démocratique gabonais (PDG) comme parti unique et dirige d’une main de fer, profitant notamment de la manne pétrolière.
En 1973, converti à l’islam, il devient “El Hadj Omar Bongo”, nom auquel il ajoutera “Ondimba”, celui de son père, en 2003. Seul candidat aux élections, il est élu président en 1973, 1979 et 1986.
Parvenu au pouvoir avec l’aval de Paris, Omar Bongo Ondimba a été un des piliers de la “Françafrique”, expression utilisée pour dénoncer un système de cooptation politique, réseaux occultes et chasses gardées commerciales mis sur pied après l’indépendance des colonies françaises d’Afrique noire.
En 1989, Omar Bongo offre un maroquin de luxe à son fils Ali qui, à 29 ans, devient ministre des Affaires étrangères, pendant deux ans. En 1999, il récupère le stratégique portefeuille de la Défense, qu’il occupera jusqu’en 2009.
De janvier à avril 1990, de graves troubles sociaux tournent à l’émeute. En mai, le multipartisme est adopté, mais Omar Bongo remporte toutes les élections présidentielles (1993, 1998 et 2005) face à une opposition qu’il parvient à diviser ou à rallier à sa cause. Les scrutins sont contestés ou suivis de violences.
• 2009 : Ali Bongo arrive au pouvoir en héritier
Le 16 octobre 2009, Ali Bongo Ondimba, dont le père est mort en juin, est investi président. En août, il a été élu lors d’un scrutin contesté. Des violences post-électorales et des pillages ont secoué Port-Gentil, dans l’ouest du pays, faisant plusieurs morts. Rapidement, l’opposition dénonce une “dérive autoritaire” et une “personnalisation du pouvoir”.
En 2010, la justice française ouvre une enquête sur le patrimoine considérable amassé en France par Omar Bongo et d’autres chefs d’État africains, ainsi que par des dirigeants syriens. C’est l’affaire des “biens mal acquis“. Neuf enfants d’Omar Bongo sont actuellement mis en examen à Paris dans cette procédure.
En décembre 2014, de violents heurts opposent manifestants de l’opposition et forces de l’ordre lors d’un rassemblement interdit réclamant le départ d’Ali Bongo, faisant officiellement un mort.
Le pouvoir, confronté à une crise économique en raison du plongeon des cours du pétrole à partir de 2014-2015, fait face à des tensions sociales croissantes, avec des grèves dans la fonction publique et le secteur privé.
En 2014, le journaliste français Pierre Péan assure, dans son livre “Nouvelles affaires africaines”, qu’Ali Bongo a falsifié son acte de naissance. Cette thèse, vigoureusement démentie par le pouvoir, affirme que le président est un enfant nigérian adopté par Omar Bongo pendant la guerre du Biafra, à la fin des années 1960.
Or, selon la Constitution, il faut être né gabonais pour briguer la présidence. La polémique a fait l’objet de plusieurs procédures judiciaires en France et au Gabon.
• Depuis 2016 : turbulences pour la dynastie
Avant la présidentielle du 27 août 2016, l’opposition demande en vain l’invalidation de la candidature d’Ali Bongo, répétant qu’il est un enfant nigérian adopté et qu’il ne peut pas être président.
Le 31 août 2016, la commission électorale annonce la réélection d’Ali Bongo face à son adversaire Jean Ping. S’ensuivent des violences sans précédent : manifestations anti-Bongo, interpellations par centaines, Assemblée incendiée, assaut des forces de sécurité contre le QG de Jean Ping… Ces troubles font trois morts selon les autorités, une trentaine selon l’opposition.
Le 2 septembre, Jean Ping se proclame “président élu”. Mais le 24 septembre, la Cour constitutionnelle valide la réélection d’Ali Bongo.
Reportées trois fois, les législatives prévues en décembre 2016 se déroulent finalement en octobre 2018 et marquent une victoire écrasante du parti au pouvoir.
Le 24 octobre 2018, Ali Bongo est victime d’un accident vasculaire cérébral en Arabie saoudite. Il est hospitalisé pendant plus d’un mois à Riyad, puis transféré à Rabat. Les rares communications officielles sur sa santé alimentent les rumeurs. En novembre, une partie de ses pouvoirs est transférée au Premier ministre et au vice-président.
La famille Bongo a dominé le Gabon pendant plus d’un demi-siècle. Le père d’Ali Bongo, Omar Bongo, a dirigé le Gabon, riche en pétrole, pendant 41 ans et a poursuivi ses partenariats de sécurité avec la France et les États-Unis. Depuis 2009, Ali Bongo a succédé à son père à la présidence et s’apprêtait à entamer son troisième mandat avec la conviction que sa présidence était inébranlable.
« Alors que notre continent a été secoué ces dernières semaines par de violentes crises, soyez assurés que je ne permettrai jamais que vous et notre pays le Gabon soyez les otages de tentatives de déstabilisation. Jamais », a déclaré Bongo ce mois-ci alors que la nation centrafricaine célébrait ses 60 ans d’indépendance de la France, presque tout ce temps avec sa famille au pouvoir.
Ali Bongo a eu son lot de défis. De violentes manifestations populaires ont éclaté dans les rues de Libreville lorsqu’il a remporté de justesse son deuxième mandat de sept ans en 2016. Ali Bongo a été victime d’un accident vasculaire cérébral fin 2018 qui lui a imposé une convalescence de plusieurs mois avec un séjour prolongé au Maroc. Profitant de cette vacance du poste présidentiel, une mutinerie de militaires s’est traduite par une tentative de coup d’État début 2019 alors que Bongo était en convalescence au Maroc.
La convalescence d’Ali Bongo est ponctuée par un putsch raté d’une poignée de militaires, le 7 janvier 2019.
Son omnipotent directeur de cabinet, Brice Laccruche Alihanga, tente à son tour de l’évincer du pouvoir en profitant de sa convalescence. Il est finalement interpellé le 3 décembre 2019, accusé de corruption, au lendemain d’un remaniement qui a acté son éviction du gouvernement où il occupait encore la tête d’un ministère sans pouvoir. Après avoir survécu à son AVC, Ali Bongo parvient à survivre politiquement.
Il y a vingt ans, le Gabon a aboli la limitation du nombre de mandats présidentiels. Ali Bongo semblait déterminé à rester en fonction, comme son père Omar Bongo, jusqu’à sa mort.
En octobre 2021, le nom d’Ali Bongo est cité dans les Pandora Papers. La présidence dément toute implication dans cette affaire.
Le 9 juillet 2023, Ali Bongo annonce sa candidature à un troisième mandat présidentiel. Désunie – contrairement au scrutin présidentiel de 2016 –, l’opposition dénonce un “pouvoir dynastique”, après plus de 55 ans de présidence de la famille Bongo, et une précampagne d’Ali Bongo financée par les moyens de l’État.
Mercredi 30 août 2023, Ali Bongo est officiellement réélu avec 64,27 % des voix contre 30,77 % pour son principal rival, Albert Ondo Ossa, qui avait dénoncé des “fraudes orchestrées par le camp Bongo” deux heures avant la clôture du scrutin.
Une tentative de coup d’État est en cours ce mercredi au Gabon. Un groupe de militaires a déclaré mettre “fin au régime” du président Ali Bongo, tout juste réélu pour un troisième mandat à la tête du pays. Celui-ci avait succédé en 2009 à son père, Omar Bongo, qui a gouverné le pays durant plus de quarante ans. Chronologie. Publié le : 30/08/2023 – 11:38
Aujourd’hui, la chute de la dynastie Bongo à Libreville porte un nouveau coup aux intérêts français en Afrique qui ont été frappés par les récents coups d’État successifs au Mali, au Burkina Faso et au Niger. Le Gabon était une colonie française jusqu’en 1960 et, pendant des décennies, Bongo et sa famille sont restés de fidèles alliés de la France, alors même que l’emprise de la France sur d’autres anciennes colonies diminuait.
En réalité, la Chine représente environ la moitié des exportations du Gabon, tandis que les entreprises françaises dominent toujours l’industrie pétrolière du Gabon et qu’au moins 400 soldats français sont basés au Gabon, dont beaucoup dans une base à Libreville.
30/8/2023 par @Tri Consulting Kyoto
Email: support@triconsultingkyoto.com
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