Les verrous de la sécurité sécuritaire éclatent un après l’autre, remettant en cause les raisons avancées pour la présence militaire étrangère en Afrique vu que cette militarisation envahissante ne peut même pas prévoir ou anticiper un soulèvement des militaires contre les pouvoirs qui ont favorisé cette localisation de forces armées occidentales dans lesquelles ils identifièrent leur propre survie politique et dirigeante.
Les Militaires Gabonnais viennent juste d’un seul jet de javelo ont saboter l’initiative du President Français et ses supports dans la Cedeao , d’une pierre deux coups, et d’un lancement de poids deux mesures. Le projet Franco-Ivorien / Nigerian contre le Niger vient de subir un revers atomique , vient-il de saborder le projet d’intervention militaire au Niger d’Emmanuel Macron?
L’autre plausible explication, c’est que ces militaires étrangers ne sont pas la pour protéger qui-que ce soit, si ce n’est les intérêts des compagnies de leurs propres pays et les intérêts géo-stratégique correspondants et donc ils deviennent borgne en ce qui concerne les mouvements rebelles des factions armées qui participent avec eux dans toutes les manœuvres de prévention et de défense, sauf celles relatives a la sauvegarde du régime en place.
Est ce que les militaires africains ont déposé les armes du changement dans une boite de suggestions pour proposer des candidatures de pays ou ils renversent la vapeur du pouvoir et changer la direction libérale démodée du train politicien !
Quelle station a besoin de se faire sauter de la trajectoire et de la voie néo-coloniale?
La chaudronnière africana en effervescence et le rouleau compresseur africain remonte la pente de la tromperie électoraliste pour aplanir le terrain populaire de la représentation directe
Bon voyage bon débarras bongo
Ali bongo déclare qu’il a été arrêté par le peuple
Et hasta la vista l’héritage dynastique et élitiste.
Ali Fils de Baba Bongo et les 40 Militaires Gabonais – Fils du Peuple qui font la fête aux Militaires Libérateurs a Libreville

Discours du Président de la France: Mr. Emmanuel Macron à été bien reçu par les militaires africains
“Ce que nous avons commencé à faire, en particulier dans les théâtres d’opérations africains, est, à cet égard, totalement inédit, avec en particulier la Task Force Takuba, et préfigure ce que nous voulons faire. ” […]
Enfin, parler de stabilité de sécurité et de lutte contre le terrorisme me conduit évidemment à évoquer l’Afrique. Nous n’avons pas en Afrique qu’une approche sécuritaire ; je veux ici être très clair et j’y reviendrai dans un instant. Nous avons de fait une implication sécuritaire parce qu’il y avait des risques terroristes – et qu’il y en a toujours – et parce qu’il y a une demande de la part d’états souverains pour que nous venions les aider.
C’est dans ce cadre qu’ont été décidées d’abord l’opération Serval puis l’opération Barkhane. Je le dis avec beaucoup de force parce que si on l’oublie aujourd’hui, si on cède aux arguments inadmissibles de cette alliance baroque des prétendus panafricains avec les néo-impérialistes, on vit chez les fous. La France est intervenue dès 2013 parce que des États nous ont demandé d’intervenir, parce qu’ils étaient en train d’être simplement coupés en deux.
Si la France n’était pas intervenue, si nos militaires n’étaient pas tombés au champ d’honneur en Afrique, si Serval puis Barkhane n’avaient pas été décidées, nous ne parlerions pas aujourd’hui ni de Mali, ni de Burkina Faso, ni de Niger. Ces États n’existeraient plus aujourd’hui dans leurs limites territoriales.
Je peux vous le dire avec certitude. Et donc quand j’entends parfois même des responsables politiques français nous expliquer que Barkhane serait une défaite, je le dis, ne prenez pas les arguments de l’ennemi ; parce qu’à ce moment-là, vous desservez tout le monde. Vous rendez un drôle d’hommage à nos militaires. Il faut avec beaucoup de force défendre le bien-fondé de ces opérations : nous sommes allés aider des pays amis et partenaires à défendre leur sol et à lutter contre le terrorisme chez eux.
C’est un reproche qu’il faut nous faire ?
C’est mal d’avoir fait ça ?
De grâce, non. Et donc, nous devons être exigeants, repenser des partenariats nouveaux et ne céder à aucune forme de paternalisme contemporain. Enfin, il ne faut pas commencer à tout inverser et à considérer que, maintenant, on ne pourrait plus aller aider un État qui veut défendre l’ordre chez lui, sur une base légale – et c’est le cadre dans lequel nous sommes intervenus dans la région : demande souveraine, demande de la CEDEAO.” Discours du Président de la France: Mr. Emmanuel Macron.


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